Après seize ans (16) de compagnonnage, l’actuel président du Conseil économique, social et environnemental (Cese) a préféré démettre son vice-président qui n’occupe plus un poste de responsabilité au sein du Parti Rewmi. Ceci, après que ce dernier ait tenu des propos à l’Assemblée nationale par rapport à la gestion du pays par le régime du Président Macky Sall. S’il est vrai que prendre une telle décision a été une peine pour Idrissa Seck, il est également avéré qu’elle est assez lourde de conséquences.
En clair, Idrissa Seck donne l’impression d’avoir commis une grosse erreur. Et pour cause, depuis l’annonce de sa défénestration, Déthié Fall ne cesse de bénéficier de soutiens. Au-delà de nombre de formations, mouvements et coalitions politiques, des voix autorisées connues dans la société civile n’ont pas manqué de signaler que Déthié Fall continue de démontrer qu’il n’est pas «un député du parti ou d’une coalition».
Sur la même lancée, plusieurs observateurs défendent, bec et ongle, que l’ancien numéro 2 du Parti Rewmi, loin d’être un nain politique, occuper une place de choix dans le landerneau politique sénégalais au point de se faire «draguer» par certaines organisations.
De ce point de vue, quelle orientation pour ne pas dire quel choix politique pour Déthié Fall ? Ce qui est certain, il est encore membre du Parti Rewmi. Peut-être, qu’il va se donner le temps de la grande réflexion pour voir et savoir quelle décision prendre. Malgré tout, des Sénégalais croient savoir qu’il n’a fait que jouer son rôle de député en mettant le doigt sur ce qu’il considère comme étant une plaie dans la gestion de Macky Sall et de son régime.
Quoi que l’on puisse dire, Déthié Fall est une réalité politique au Sénégal. Sa sortie au niveau de l’Assemblée nationale qui était fortement guettée, aura permis à ce dernier de démontrer qu’il ne verse pas dans la politique politicienne. Bien structuré, ses positions sont largement partagées. D’ailleurs, des mouvements au niveau de la diaspora lui ont aussi transmis leurs soutiens.
Il faut même rappeler que le vendredi 27 novembre, lors du passage du ministre de l’Agriculture à l’Assemblée nationale, le Polytechnicien s’était encore illustré dans son registre habituel en prenant en charge les préoccupations des Sénégalais, se démarquant ainsi totalement de la position de son ex-leader qui est véritablement trempé dans le "mbourou ak soow".
Tribune
En clair, Idrissa Seck donne l’impression d’avoir commis une grosse erreur. Et pour cause, depuis l’annonce de sa défénestration, Déthié Fall ne cesse de bénéficier de soutiens. Au-delà de nombre de formations, mouvements et coalitions politiques, des voix autorisées connues dans la société civile n’ont pas manqué de signaler que Déthié Fall continue de démontrer qu’il n’est pas «un député du parti ou d’une coalition».
Sur la même lancée, plusieurs observateurs défendent, bec et ongle, que l’ancien numéro 2 du Parti Rewmi, loin d’être un nain politique, occuper une place de choix dans le landerneau politique sénégalais au point de se faire «draguer» par certaines organisations.
De ce point de vue, quelle orientation pour ne pas dire quel choix politique pour Déthié Fall ? Ce qui est certain, il est encore membre du Parti Rewmi. Peut-être, qu’il va se donner le temps de la grande réflexion pour voir et savoir quelle décision prendre. Malgré tout, des Sénégalais croient savoir qu’il n’a fait que jouer son rôle de député en mettant le doigt sur ce qu’il considère comme étant une plaie dans la gestion de Macky Sall et de son régime.
Quoi que l’on puisse dire, Déthié Fall est une réalité politique au Sénégal. Sa sortie au niveau de l’Assemblée nationale qui était fortement guettée, aura permis à ce dernier de démontrer qu’il ne verse pas dans la politique politicienne. Bien structuré, ses positions sont largement partagées. D’ailleurs, des mouvements au niveau de la diaspora lui ont aussi transmis leurs soutiens.
Il faut même rappeler que le vendredi 27 novembre, lors du passage du ministre de l’Agriculture à l’Assemblée nationale, le Polytechnicien s’était encore illustré dans son registre habituel en prenant en charge les préoccupations des Sénégalais, se démarquant ainsi totalement de la position de son ex-leader qui est véritablement trempé dans le "mbourou ak soow".
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