Il est arrêté et détenu à la maison d’arrêt et de correction de Rebeuss pour les besoins de son extradition probable. D’ailleurs, une « une requête aux fins de mise en liberté provisoire» est déposée par son avocat, le 14 septembre dernier, au motif qu’il risque d’être guillotiné une fois remis à la justice de son pays natal.
En effet, Mohsen est recherche pour le délit d’homicide involontaire, en rapport avec un accident de la circulation mortel commis en 2001, à Bâter Ouakey et ayant causé la mort d’un certain Alsahein. Ce qui lui a valu une condamnation de 3 ans et 4 mois non encore purgée.
Cette décision rendue le 20 novembre 2007, par la Cour d’assises de Alkasey (en Turquie) a même été confirmée par la Cour de cassation de ce pays, le 10 mai 2010. Entendu Mohsen a réitéré son refus d’extradition, en vue d’être livré aux autorités turques. Pour l’heure, la chambre d’accusation va statuer sur la demande d’extradition, dans les prochains jours.
Dans ce dossier, une première demande d’extradition adressée à la France, par la justice turque, n’a pas produit les résultats escomptes. L’hexagone s’est fondé sur la convention européenne d’extradition pour émettre un avis défavorable à la demande présentée, le 4 décembre 2015, par les autorités turques. Entre temps, l’intéressé a trouvé le moyen de se terrer au Sénégal, dans la plus grande discrétion.
Ces dix dernières années, de plus d’une dizaine d’extraditions ont été autorisées par la justice sénégalaise. Celles-ci font suite à des demandes formulées par d’autres Etats, via l’Interpol. Le régime actuel en a connu des cas, tout aussi qu’il en a été de même pour celui Libéral. Les archives judiciaires retiennent les cas d’Aboubacar Sidiki Diakité alias Toumba Diakité (mars 2017), Brino Gasio (extrade vers l’Italie), Otto longola dit prince charmant (novembre 2016) ainsi que les trois marocains (Sidy Mohamed, Mohamed Brigh Nadane et Moulaye Abdelhani Nadane), en 2010. Et le décompte n’est pas exhaustif.
Source: Walf
En effet, Mohsen est recherche pour le délit d’homicide involontaire, en rapport avec un accident de la circulation mortel commis en 2001, à Bâter Ouakey et ayant causé la mort d’un certain Alsahein. Ce qui lui a valu une condamnation de 3 ans et 4 mois non encore purgée.
Cette décision rendue le 20 novembre 2007, par la Cour d’assises de Alkasey (en Turquie) a même été confirmée par la Cour de cassation de ce pays, le 10 mai 2010. Entendu Mohsen a réitéré son refus d’extradition, en vue d’être livré aux autorités turques. Pour l’heure, la chambre d’accusation va statuer sur la demande d’extradition, dans les prochains jours.
Dans ce dossier, une première demande d’extradition adressée à la France, par la justice turque, n’a pas produit les résultats escomptes. L’hexagone s’est fondé sur la convention européenne d’extradition pour émettre un avis défavorable à la demande présentée, le 4 décembre 2015, par les autorités turques. Entre temps, l’intéressé a trouvé le moyen de se terrer au Sénégal, dans la plus grande discrétion.
Ces dix dernières années, de plus d’une dizaine d’extraditions ont été autorisées par la justice sénégalaise. Celles-ci font suite à des demandes formulées par d’autres Etats, via l’Interpol. Le régime actuel en a connu des cas, tout aussi qu’il en a été de même pour celui Libéral. Les archives judiciaires retiennent les cas d’Aboubacar Sidiki Diakité alias Toumba Diakité (mars 2017), Brino Gasio (extrade vers l’Italie), Otto longola dit prince charmant (novembre 2016) ainsi que les trois marocains (Sidy Mohamed, Mohamed Brigh Nadane et Moulaye Abdelhani Nadane), en 2010. Et le décompte n’est pas exhaustif.
Source: Walf