Selon les médias, Cheikh Tidiane Gadio n’est plus député à l’assemblée nationale. Nommé par la Secrétaire générale de la Francophonie, Louise Mushikiwabo, comme Envoyé spécial pour le suivi de la situation au Mali, le Code sénégalais, en son article LO.19 lui interdit d’exercer son mandat de député.
Ledit article selon le journal "L’As" qui a ébruité l’info, stipule ceci : « L’exercice de toute fonction publique non élective est incomptabile avec le mandat de député».
« En conséquence, toute personne visée à l’alinéa précédent, élue à l’Assemblée nationale, est remplacée dans ses fonctions et placée dans la position prévue à cet effet par le statut le régissant dans les 8 jours qui suivent son entrée en fonction… ».
Le Mouvement panafricain et citoyen – Luy Jot Jotna est monté au créneau pour rétablir la vérité. Le parti de Gadio parle de « fake news ».
« Comment peut-on faire croire aux Sénégalais et à nos compatriotes africains que Gadio peut abandonner un mandat du peuple de cinq ans (député à l’Assemblée nationale), pour une mission ponctuelle de quelques mois (Envoyé spécial de l’Oif) », s’interroge Luy Jot Jotna. « Cette fake news magistrale est basée sur un seul argument: le règlement de l’Assemblée n’autorise pas “le cumul de fonctions” », lit-on dans la note dont nous avons copie. « La station “d’Envoyé spécial” d’une organisation internationale est une mission et non une fonction», précise Luy Jot Jotna.
En effet, « Gadio a accepté de faire le suivi de la situation du Mali pour le compte de Mme la Sh de l’Oif et de la représenter dans les initiatives en cours, pour le retour à l’ordre constitutionnel normal ».
Par conséquent, mentionne la note, laquelle précise : « Gadio n’est pas un fonctionnaire international ou un employé de l’Oif. Il exécute simplement une mission ponctuelle avec des termes de référence précis ».
« La dernière fois que Gadio a conduit une mission de l’Oif, c’était en mars 2016 comme chef de sa mission d’observation électorale à la présidentielle béninoise. Il était Envoyé spécial pour… 2 semaines (…) », rappelle la même source.
Ledit article selon le journal "L’As" qui a ébruité l’info, stipule ceci : « L’exercice de toute fonction publique non élective est incomptabile avec le mandat de député».
« En conséquence, toute personne visée à l’alinéa précédent, élue à l’Assemblée nationale, est remplacée dans ses fonctions et placée dans la position prévue à cet effet par le statut le régissant dans les 8 jours qui suivent son entrée en fonction… ».
Le Mouvement panafricain et citoyen – Luy Jot Jotna est monté au créneau pour rétablir la vérité. Le parti de Gadio parle de « fake news ».
« Comment peut-on faire croire aux Sénégalais et à nos compatriotes africains que Gadio peut abandonner un mandat du peuple de cinq ans (député à l’Assemblée nationale), pour une mission ponctuelle de quelques mois (Envoyé spécial de l’Oif) », s’interroge Luy Jot Jotna. « Cette fake news magistrale est basée sur un seul argument: le règlement de l’Assemblée n’autorise pas “le cumul de fonctions” », lit-on dans la note dont nous avons copie. « La station “d’Envoyé spécial” d’une organisation internationale est une mission et non une fonction», précise Luy Jot Jotna.
En effet, « Gadio a accepté de faire le suivi de la situation du Mali pour le compte de Mme la Sh de l’Oif et de la représenter dans les initiatives en cours, pour le retour à l’ordre constitutionnel normal ».
Par conséquent, mentionne la note, laquelle précise : « Gadio n’est pas un fonctionnaire international ou un employé de l’Oif. Il exécute simplement une mission ponctuelle avec des termes de référence précis ».
« La dernière fois que Gadio a conduit une mission de l’Oif, c’était en mars 2016 comme chef de sa mission d’observation électorale à la présidentielle béninoise. Il était Envoyé spécial pour… 2 semaines (…) », rappelle la même source.