Pour cause, Siga Guèye Touré et ses partisanes dénoncent un manque de respect et de considération notoires de la part des responsables du parti.
«Nous sommes des militantes de la première heure de l'Apr. Mais nous constatons que nous ne jouissons pas de la considération que nous méritons. Cela ne peut plus continuer. Nous avons estimé qu'il est temps de rompre les amarres avec l'Apr du Président Macky Sall. Et c'est ce que nous avons fait à partir d'hier», peste Mme Touré Siga Guèye, présidente du mouvement Siggil Jiggen.
La décision a été prise au sortir d'une réunion dans la nuit de mardi à mercredi. «Nous avons déjà collectés 500 signatures pour le parrainage. Mais nous avons décidé de ne pas les remettre aux responsables de l'Apr. Le compagnonnage est désormais terminé», ajoute-t-elle à nouveau.
À les croire, la commune de Taïf,située à 28 km de Touba,souffre d'un manque criard d'infrastructures sociales de base. «Le lycée de Taïf n'existe que de nom. Il est logé dans une école. Dans le domaine de la santé aussi, les populations rencontrent d'énormes difficultés, car les infrastructures manquent», se désole-t-elle.
«Nous avons décidé d'aller travailler avec le président du Conseil départemental de Mbacké, Fallou Mbacké.»
«Nous sommes des militantes de la première heure de l'Apr. Mais nous constatons que nous ne jouissons pas de la considération que nous méritons. Cela ne peut plus continuer. Nous avons estimé qu'il est temps de rompre les amarres avec l'Apr du Président Macky Sall. Et c'est ce que nous avons fait à partir d'hier», peste Mme Touré Siga Guèye, présidente du mouvement Siggil Jiggen.
La décision a été prise au sortir d'une réunion dans la nuit de mardi à mercredi. «Nous avons déjà collectés 500 signatures pour le parrainage. Mais nous avons décidé de ne pas les remettre aux responsables de l'Apr. Le compagnonnage est désormais terminé», ajoute-t-elle à nouveau.
À les croire, la commune de Taïf,située à 28 km de Touba,souffre d'un manque criard d'infrastructures sociales de base. «Le lycée de Taïf n'existe que de nom. Il est logé dans une école. Dans le domaine de la santé aussi, les populations rencontrent d'énormes difficultés, car les infrastructures manquent», se désole-t-elle.
«Nous avons décidé d'aller travailler avec le président du Conseil départemental de Mbacké, Fallou Mbacké.»