L’écrivain sénégalais Mbaye Gana Kébé est décédé hier à Dakar, à l’âge de 77 ans, des suites d’une longue maladie. Il a été inhumé l’après-midi, dans sa ville natale de Thiès.
Mbaye Gana Kébé n’est plus ! L’éÂcrivain «le plus prolixe» de sa génération est décédé, hier à DaÂkar, des suites d’une longue maladie. Emportant avec lui tout un pan de la littérature sénégalaise. Né en 1936 à Thiès, «Le Doyen» est un ancien pensionnaire de l’école normale supérieure (devenue Faculté des sciences de l’éducation et de la formation (Fastef).
CraÂyonÂné comme un être «d’un abord facile», «ce parolier» avait le don «d’improviser» et «d’amuser son public», retient-on dans le milieu culturel. Professeur de lettres, écrivain au talent pluriel, il a son actif une dizaine de livres L’AfriÂque a parlé, théâtre, Paris 1970, L’Afrique Une, théâtre, Paris, 1975, Kaala Sikkime, nouvelles, NouÂvelÂles éditions africaines (Nea), Dakar, 1976, Ebéniques Poèmes, Nea, Dakar, 1975, ColomÂbes poèmes pour enfants, Nea, Dakar, 1979, Rondes poèmes pour enÂfants, Nea, Dakar, 1979, Le Blanc du nègre, Roman, Nea, Dakar, 1980, Les Indemnités, nouvelles, Paris, 1977, Notre futur enfant, poésies, 1984.
Concomitamment à son statut d’écrivain, Mbaye Gana Kébé fut enseignant à l’Ecole nationale des officiers d’active (Enoa), basée à Thiès. Ancien président du Conseil d’administration de la ManufacÂtuÂre des arts décoratifs de Thiès, Mbaye Gana Kébé était aux premières loges d’une visite de l’artiste Youssou Ndour en tant que ministre de la Culture à «l’ancien fleuron culturel». Agé de 77 ans, l’ex-observateur au Conseil d’administration du Bureau sénégalais des droits d’auteur (Bsda) a été inhumé, hier après-midi, dans sa ville natale de Thiès. Il laisse derrière lui cinq enfants.
nmseye@lequotidien.sn
Mbaye Gana Kébé n’est plus ! L’éÂcrivain «le plus prolixe» de sa génération est décédé, hier à DaÂkar, des suites d’une longue maladie. Emportant avec lui tout un pan de la littérature sénégalaise. Né en 1936 à Thiès, «Le Doyen» est un ancien pensionnaire de l’école normale supérieure (devenue Faculté des sciences de l’éducation et de la formation (Fastef).
CraÂyonÂné comme un être «d’un abord facile», «ce parolier» avait le don «d’improviser» et «d’amuser son public», retient-on dans le milieu culturel. Professeur de lettres, écrivain au talent pluriel, il a son actif une dizaine de livres L’AfriÂque a parlé, théâtre, Paris 1970, L’Afrique Une, théâtre, Paris, 1975, Kaala Sikkime, nouvelles, NouÂvelÂles éditions africaines (Nea), Dakar, 1976, Ebéniques Poèmes, Nea, Dakar, 1975, ColomÂbes poèmes pour enfants, Nea, Dakar, 1979, Rondes poèmes pour enÂfants, Nea, Dakar, 1979, Le Blanc du nègre, Roman, Nea, Dakar, 1980, Les Indemnités, nouvelles, Paris, 1977, Notre futur enfant, poésies, 1984.
Concomitamment à son statut d’écrivain, Mbaye Gana Kébé fut enseignant à l’Ecole nationale des officiers d’active (Enoa), basée à Thiès. Ancien président du Conseil d’administration de la ManufacÂtuÂre des arts décoratifs de Thiès, Mbaye Gana Kébé était aux premières loges d’une visite de l’artiste Youssou Ndour en tant que ministre de la Culture à «l’ancien fleuron culturel». Agé de 77 ans, l’ex-observateur au Conseil d’administration du Bureau sénégalais des droits d’auteur (Bsda) a été inhumé, hier après-midi, dans sa ville natale de Thiès. Il laisse derrière lui cinq enfants.
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