Le gouvernement et syndicats d’enseignants s’étaient convenus de se retrouver dans un délai de 15 jours au maximum, pour continuer les discussions. Mais, le gouvernement a dû faire face au 8e plan d’action, décrété 24 heures après ladite rencontre.
Ainsi, face à l’urgence de rétablir l’ordre dans le secteur, les autorités ont jugé nécessaire de prendre langue avec les concernés le jeudi 10 février, dans un premier temps, avant de le repousser au samedi prochain. Les protagonistes devront ainsi, se rencontrer pour une réunion de commission technique restreinte à partir de 9h30.Considérant le caractère sérieux des revendications, notamment celles relatives au système de rémunération et à la création du corps des administrateurs scolaires, ladite rencontre s’avère décisive. Des conclusions qui en découleront, dépend véritablement l’avenir de l’année scolaire en cours qui, il faut le dire, est gravement perturbée. Dans les établissements publics, le tiers des contenus à enseigner ne le sont même pas encore. Alors que l’on a déjà fait la moitié de l’année scolaire.
Et pour ne rien régler, le boycott des évaluations a abouti à la non organisation des compositions du 1er semestre. Beaucoup d’élèves peinent à entrer en possession de leurs notes des devoirs. Autant de raisons qui poussent à croire que si, à l'issue de la rencontre de ce samedi, les positions ne sont pas arrondies, une année blanche ne sera vraiment pas à exclure.
Ainsi, face à l’urgence de rétablir l’ordre dans le secteur, les autorités ont jugé nécessaire de prendre langue avec les concernés le jeudi 10 février, dans un premier temps, avant de le repousser au samedi prochain. Les protagonistes devront ainsi, se rencontrer pour une réunion de commission technique restreinte à partir de 9h30.Considérant le caractère sérieux des revendications, notamment celles relatives au système de rémunération et à la création du corps des administrateurs scolaires, ladite rencontre s’avère décisive. Des conclusions qui en découleront, dépend véritablement l’avenir de l’année scolaire en cours qui, il faut le dire, est gravement perturbée. Dans les établissements publics, le tiers des contenus à enseigner ne le sont même pas encore. Alors que l’on a déjà fait la moitié de l’année scolaire.
Et pour ne rien régler, le boycott des évaluations a abouti à la non organisation des compositions du 1er semestre. Beaucoup d’élèves peinent à entrer en possession de leurs notes des devoirs. Autant de raisons qui poussent à croire que si, à l'issue de la rencontre de ce samedi, les positions ne sont pas arrondies, une année blanche ne sera vraiment pas à exclure.