Les allocataires de l’Ipres qui perçoivent leurs pensions de retraite dans les bureaux de la Poste de tout le Sénégal sont dans tous leurs états.
La preuve, Poste finances, juridiquement n'existe plus. Elle ne voit le bout du tunnel qu'avec la "perfusion" de l'Etat et ses scandales financiers ont fini par le tuer.
Ce qui se passe dans les bureaux de Poste, dans quasiment tout le pays est inadmissible pour des personnes du 3e âge. Pis, pour des gens qui ont travaillé toute leur vie pour le développement de ce pays, les retraités sont laissés en files indiennes sous le chaud soleil, avec un manque de respect notoire. Il y a des allocataires qui effectuent de multiples allers et retours, d’autres qui passent parfois la nuit ici, sans être payés.
Au moment où Leral écrit ces lignes, certains retraités, surtout ceux de la poste n'ont pas encore récupéré leur pension.
Pour rappel, l'Etat verse à la Poste six cents francs (600) à chaque versement pour un retraité. Mais comme sa masse annuelle salariale est de dix milliards alors que ses rentrées n'atteignent pas ce montant, imaginez le gap.
La preuve, Poste finances, juridiquement n'existe plus. Elle ne voit le bout du tunnel qu'avec la "perfusion" de l'Etat et ses scandales financiers ont fini par le tuer.
Ce qui se passe dans les bureaux de Poste, dans quasiment tout le pays est inadmissible pour des personnes du 3e âge. Pis, pour des gens qui ont travaillé toute leur vie pour le développement de ce pays, les retraités sont laissés en files indiennes sous le chaud soleil, avec un manque de respect notoire. Il y a des allocataires qui effectuent de multiples allers et retours, d’autres qui passent parfois la nuit ici, sans être payés.
Au moment où Leral écrit ces lignes, certains retraités, surtout ceux de la poste n'ont pas encore récupéré leur pension.
Pour rappel, l'Etat verse à la Poste six cents francs (600) à chaque versement pour un retraité. Mais comme sa masse annuelle salariale est de dix milliards alors que ses rentrées n'atteignent pas ce montant, imaginez le gap.