« Depuis que nous l’avons élu, nous n’avons plus accès à Aliou Sall. A vrai dire, il est devenu impossible de le voir. Nous ne comprenons pas une telle attitude et pensons qu’il ne cherchait qu’à devenir maire de Guédiawaye », s’offusquent Papa Lamine Diongue et ses camarades. Selon eux, « au lieu de tout faire pour solidifier la base et grossir les rangs de (leur) parti, il est plutôt dans ses propres affaires. D’ailleurs, les jeunes, tout comme plusieurs organisations de femmes, ne comprennent pas son attitude, et certains menacent même de quitter le parti car, leur situation n’a pas évolué depuis 2012 ».
M. Diongue signale à nos confrères de Libération que « plusieurs promesses faites par (leur) maire, avant et après son élection, n’ont pas été respectées ». Pire, il souligne : « C’est comme s’il nous fuyait, alors que nous voulons juste le rencontrer et lui faire savoir que la base se démoralise. Une manière d’éviter qu’il soit accusé de ceci ou de cela, si jamais le parti perdait au niveau de Guédiawaye. Jusqu’à présent, c’est une poignée de jeunes et de femmes de Guédiawaye qui profitent de la présence de l’Apr au pouvoir ». Dans la foulée, Lat Diop, directeur de l’Investissement et membre du Secrétariat exécutif national, en a pris pour son grade. « Il gagnerait à nous accorder beaucoup plus de considération au lieu d’aller à Touba pour s’attaquer à des Mbacké-Mbacké. Il doit comprendre que la base est importante et que l’on ne doit pas jouer à sa dispersion. Malheureusement, c’est le cas », fulminent-ils.
Ces jeunes font également remarquer que le Grand Parti de Malick Gackou profite de la baisse de niveau d’une base démobilisée pour accentuer ses recrutements. « Dire qu’il n’y a pas de militants de l’Apr qui ont rejoint le Grand Parti serait faux. Nous connaissons bel et bien des jeunes et des femmes qui étaient dans notre camp qui ont quitté à cause du comportement de nos responsables », clame Papa Lamine Diongue.
M. Diongue signale à nos confrères de Libération que « plusieurs promesses faites par (leur) maire, avant et après son élection, n’ont pas été respectées ». Pire, il souligne : « C’est comme s’il nous fuyait, alors que nous voulons juste le rencontrer et lui faire savoir que la base se démoralise. Une manière d’éviter qu’il soit accusé de ceci ou de cela, si jamais le parti perdait au niveau de Guédiawaye. Jusqu’à présent, c’est une poignée de jeunes et de femmes de Guédiawaye qui profitent de la présence de l’Apr au pouvoir ». Dans la foulée, Lat Diop, directeur de l’Investissement et membre du Secrétariat exécutif national, en a pris pour son grade. « Il gagnerait à nous accorder beaucoup plus de considération au lieu d’aller à Touba pour s’attaquer à des Mbacké-Mbacké. Il doit comprendre que la base est importante et que l’on ne doit pas jouer à sa dispersion. Malheureusement, c’est le cas », fulminent-ils.
Ces jeunes font également remarquer que le Grand Parti de Malick Gackou profite de la baisse de niveau d’une base démobilisée pour accentuer ses recrutements. « Dire qu’il n’y a pas de militants de l’Apr qui ont rejoint le Grand Parti serait faux. Nous connaissons bel et bien des jeunes et des femmes qui étaient dans notre camp qui ont quitté à cause du comportement de nos responsables », clame Papa Lamine Diongue.