Les uniformes ont de nouveau envahi les rues de la Havane. Short rouge, chemise blanche et foulard bleu, Jordan est ravi de sa première journée à l’école après plus de sept mois sans classe. « Je suis content, ça me rend heureux de pouvoir jouer de nouveau avec mes amis et d’étudier ! », se réjouit-il.
Un masque à changer toutes les trois heures
Et pour compléter l’uniforme, Jordan, 8 ans, porte un masque obligatoire à Cuba pour tout le monde, qu’il doit changer durant sa journée d’école toutes les trois heures. Des mesures de distanciation et d’hygiène ont également été prises dans les classes.
Les parents d’élèves n’ont pas vraiment de quoi s’inquiéter, ils sont d’ailleurs plutôt soulagés, comme Irayne. « Ils ne nous laissent même pas entrer dans l’école par mesure de précaution, explique-t-elle. Ils font comme ils peuvent mais bon, nous, les parents, ça nous permet de souffler un peu parce qu’on a d’autres choses à faire. On doit travailler. »
Un rythme dur à reprendre
Jusqu’à fin novembre, tous les élèves reprennent le cursus laissé en mars, avant d’entamer une nouvelle année scolaire en décembre. Mais après sept mois de classe à la maison, principalement via la télévision, le rythme est dur à reprendre et les élèves se sentent en retard. « On a perdu huit mois, se désole Talia, une lycéenne. On a étudié avec les télé-classes mais ce n’est pas pareil d’être à la maison que d’avoir un professeur qui te supervise en classe. » « On nous a envoyé aussi les cours par WhatsApp et les réseaux sociaux mais ici internet est très cher, et c’était assez stressant pour étudier », complète Miguel.
La majorité des élèves du pays ont désormais repris l’école alors que Cuba compte en moyenne 50 nouveaux cas de Covid-19 par jour ces dernières semaines.
Un masque à changer toutes les trois heures
Et pour compléter l’uniforme, Jordan, 8 ans, porte un masque obligatoire à Cuba pour tout le monde, qu’il doit changer durant sa journée d’école toutes les trois heures. Des mesures de distanciation et d’hygiène ont également été prises dans les classes.
Les parents d’élèves n’ont pas vraiment de quoi s’inquiéter, ils sont d’ailleurs plutôt soulagés, comme Irayne. « Ils ne nous laissent même pas entrer dans l’école par mesure de précaution, explique-t-elle. Ils font comme ils peuvent mais bon, nous, les parents, ça nous permet de souffler un peu parce qu’on a d’autres choses à faire. On doit travailler. »
Un rythme dur à reprendre
Jusqu’à fin novembre, tous les élèves reprennent le cursus laissé en mars, avant d’entamer une nouvelle année scolaire en décembre. Mais après sept mois de classe à la maison, principalement via la télévision, le rythme est dur à reprendre et les élèves se sentent en retard. « On a perdu huit mois, se désole Talia, une lycéenne. On a étudié avec les télé-classes mais ce n’est pas pareil d’être à la maison que d’avoir un professeur qui te supervise en classe. » « On nous a envoyé aussi les cours par WhatsApp et les réseaux sociaux mais ici internet est très cher, et c’était assez stressant pour étudier », complète Miguel.
La majorité des élèves du pays ont désormais repris l’école alors que Cuba compte en moyenne 50 nouveaux cas de Covid-19 par jour ces dernières semaines.