C’est avec une incapacité temporaire de 21 jours que la dame D. Kanté, s’est présentée au commissariat de la Médina pour déposer une plainte pour coups et blessures volontaires contre son voisin M. Sall. Ce dernier qui l’a rouée de coups va certainement regretter son acte, puisqu’il a été envoyé en prison, à l’issue de l’enquête. Seulement, il s’est prévalu de l’excuse de provocation en soutenant que la plaignante avait osé l’accuser d’homosexuel.
Technicienne de surface, la jeune dame a expliqué devant les enquêteurs que le jour des faits, elle était en train de balayer la cour de la maison qu’elle partage avec des colocataires. Ayant entassé les ordures dans un coin, le temps de venir les récupérer, son voisin, M. Sall, est sorti de sa chambre pour se plaindre. Faisant ainsi la remarque à D. Kanté, comme quoi, cela gênait son passage. Ruminant sa colère, il a attendu les coups de 18h, alors que sa voisine se rendait dans les toilettes pour l’attaquer tout d’un coup.
«Il s’est attaqué à moi en me cognant au dos avant de me rouer de coups», a expliqué la plaignante devant les enquêteurs. Selon elle, M. Sall lui a également causé de multiples blessures. En effet, avec la violence des coups, la jeune dame s’est affalée au sol et c’est à ce moment que les autres occupants de la maison ont accouru pour la tirer des griffes de son bourreau.
Face à de telles accusations, le mis en cause n’a pas cherché à nier l’évidence. Il a, en effet, fait des aveux circonstanciés. Seulement, il s’est prévalu de l’excuse de provocation, soutenant que c’est sa voisine qui a ouvert les hostilités en entassant les ordures devant sa chambre. Et comme si cela ne suffisait pas, lorsqu’il lui a fait la remarque, elle a commencé à l’injurier, allant même jusqu’à le traiter d’homosexuel. Le mot de trop qui l’a fait sortir de ses gonds. Selon lui, c’est une diffamation qui ne dit pas son nom. Renseigne Vipeoples .
Technicienne de surface, la jeune dame a expliqué devant les enquêteurs que le jour des faits, elle était en train de balayer la cour de la maison qu’elle partage avec des colocataires. Ayant entassé les ordures dans un coin, le temps de venir les récupérer, son voisin, M. Sall, est sorti de sa chambre pour se plaindre. Faisant ainsi la remarque à D. Kanté, comme quoi, cela gênait son passage. Ruminant sa colère, il a attendu les coups de 18h, alors que sa voisine se rendait dans les toilettes pour l’attaquer tout d’un coup.
«Il s’est attaqué à moi en me cognant au dos avant de me rouer de coups», a expliqué la plaignante devant les enquêteurs. Selon elle, M. Sall lui a également causé de multiples blessures. En effet, avec la violence des coups, la jeune dame s’est affalée au sol et c’est à ce moment que les autres occupants de la maison ont accouru pour la tirer des griffes de son bourreau.
Face à de telles accusations, le mis en cause n’a pas cherché à nier l’évidence. Il a, en effet, fait des aveux circonstanciés. Seulement, il s’est prévalu de l’excuse de provocation, soutenant que c’est sa voisine qui a ouvert les hostilités en entassant les ordures devant sa chambre. Et comme si cela ne suffisait pas, lorsqu’il lui a fait la remarque, elle a commencé à l’injurier, allant même jusqu’à le traiter d’homosexuel. Le mot de trop qui l’a fait sortir de ses gonds. Selon lui, c’est une diffamation qui ne dit pas son nom. Renseigne Vipeoples .