« J’ai 25 ans et je travaille dans une société de sécurité informatique en tant que responsable technique. Je n’ai pas à me plaindre car je n’ai jamais chômé. Aussitôt que j’ai obtenu mon diplôme, j’ai eu un stage à l’issue duquel j’ai eu d’un CDD de 6 mois puis d’un contrat d’embauche. Je sais que je suis plutôt brillante car durant tout mon circuit scolaire, je ne suis jamais sortie des 3 premiers de ma classe si je n’avais pas été la première.
Sans vouloir me vanter, je suis belle, très belle je devrais dire mais j’ai un faible : je ne peux pas résister au s**e. Quand j’étais jeune, je ne sortais jamais de chez moi que pour aller à l’école. Du coup, je ne connaissais pas grand-chose jusqu’au jour où j’ai faisais ma formation.
J’ai rencontré un homme. Quand il m’a dragué, j’ai dit oui immédiatement puisqu’avec tout ce qu’il avait dit, je n’avais pas grand-chose à lui riposter.
Au premier rendez-vous, il a enlevé tous mes habits et m’a fait l’amour. J’étais tellement dépassée que je n’avais pas pu bouger. Donc, je l’ai laissé faire même si ça me faisait très mal.
Après on est resté deux jours sans aucun contact, puis il a insisté pour que je repasse. Et quand je suis repassée, il m’a encore fait l’amour.
Je voulais le repousser pour lui faire comprendre que j’étais une fille bien éduquée, mais je n’ai pas pu…je n’ai jamais pu.
A la fin, il me faisait l’amour au moins 3 fois par semaine, car c’était devenu une habitude. Lui avait désormais compris que quand je me déplaçais, c’était pour qu’il me baise.
Après on avait rompu parce qu’il avait été affecté dans les régions. Je ne pouvais plus avoir ma « ration » comme il le fallait.
Maintenant je suis devenue quelqu’une d’autre et des fois, j’ai de gros soucis. Les hommes hésitent à me draguer. Et quand je dis oui, c’est comme s’ils ont peur de me toucher. C’est comme s’ils me voient comme un « meuble », juste bon pour le plaisir des yeux et je ne peux pas faire les premiers pas.
Souvent, je me masturbe presque chaque nuit car j’ai personne pour me faire l’amour comme je le voudrais. J’essaie d’être le plus aimable possible, histoire d’ouvrir les portes.
Mon dernier mec, il n’a même pas eu l’audace de me toucher quand je suis allée lui rendre visite, juste un b****r sur ma bouche, en me demandant de choisir dans quel restaurant je veux qu’il m’emmène.
J’avais envie de lui dire que je n’étais pas là pour mon ventre, mais plutôt pour mon bas-ventre ».