Reconnu coupable, il a écopé de 6 mois ferme. Le drame a eu lieu au mois d’avril, à Bountoko dans le Maka Coulibantang. Selon l’économie des faits, le mis en cause âgé de 38 ans avait demandé à la victime de lui préparer du thé, mais, celle-ci n’a pas n’a pas pipé un mot. Le mari a réitéré sa demande, mais, la dame a continué à garder le silence. Ensuite, elle s’est levée et s’est dirigée vers leur chambre.
Le mari a vu rouge et l’a suivie. L’ayant trouvée à l’intérieur, il s’est mis à lui faire des remontrances sur son comportement. Mais, selon les dires du prévenu, celle-ci est tombée sur lui et l’a empoigné. Pour se dégager, il l’a violement repoussée. La victime a heurté le mur, avant de tomber au pied du lit où se trouvait un tronc d’arbre qui sert de banc.
Malheureusement, sa nuque a heurté le tronc. Selon le mari, avant qu’elle ne chute lourdement, elle avait poussé un cri qui a alerté les voisins. Ceux-ci l’ont trouvée allongée sur le dos ; Lassana debout à côté d’elle. La victime avait perdu la mobilité de ses membres inférieurs.
Les voisins l’ont conduite à l’hôpital de Maka, à Tambacounda, avant qu’elle ne soit transférée à l’hôpital Aristide Le Dantec où elle a trouvé la mort. L’autopsie du corps a révélé un traumatisme rachidien et une fracture secondaire à la nuque.
Devant la barre, Lassana a reconnu les faits et précisé que c’était un accident, car, il n’a jamais eu l’intention de donner la mort. Interpellé sur les raisons de leur dispute, il a soutenu qu’il s’agissait, en réalité, d’une histoire de jalousie entre coépouses. Amy Ndiaye, qui se trouvait être sa seconde épouse, était jalouse de la première, car, un jour, lors d’une de leurs disputes, Lassana avait un peu remonté les bretelles à Amy. Ce qui n’avait pas été du goût de cette dernière qui, depuis lors, boudait.
La partie civile, représentée par Bineta Kéita, n’a pas réclamé de réparation. Elle a même retiré sa plainte et a pardonné. « Je pardonne, car, je sais que rien ne me ramènera ma fille’’, a-t-elle déclaré.
Devant la barre, les témoins ont tous reconnu que, après 15 ans de mariage, c’était la première fois qu’ils assistaient à une dispute entre Lassana et Amy. Le parquetier, dans son réquisitoire, a souligné qu’au vu des éléments à sa disposition, rien ne montre qu’il s’agissait d’homicide volontaire. Il fait savoir également, d’après les conclusions du médecin légiste, qu’aucune trace laissant croire à une bagarre entre le prévenu et la victime n’a été relevée. Par conséquent, il a requalifié les faits en homicide involontaire et requis 6 mois avec sursis.
Le mari a vu rouge et l’a suivie. L’ayant trouvée à l’intérieur, il s’est mis à lui faire des remontrances sur son comportement. Mais, selon les dires du prévenu, celle-ci est tombée sur lui et l’a empoigné. Pour se dégager, il l’a violement repoussée. La victime a heurté le mur, avant de tomber au pied du lit où se trouvait un tronc d’arbre qui sert de banc.
Malheureusement, sa nuque a heurté le tronc. Selon le mari, avant qu’elle ne chute lourdement, elle avait poussé un cri qui a alerté les voisins. Ceux-ci l’ont trouvée allongée sur le dos ; Lassana debout à côté d’elle. La victime avait perdu la mobilité de ses membres inférieurs.
Les voisins l’ont conduite à l’hôpital de Maka, à Tambacounda, avant qu’elle ne soit transférée à l’hôpital Aristide Le Dantec où elle a trouvé la mort. L’autopsie du corps a révélé un traumatisme rachidien et une fracture secondaire à la nuque.
Devant la barre, Lassana a reconnu les faits et précisé que c’était un accident, car, il n’a jamais eu l’intention de donner la mort. Interpellé sur les raisons de leur dispute, il a soutenu qu’il s’agissait, en réalité, d’une histoire de jalousie entre coépouses. Amy Ndiaye, qui se trouvait être sa seconde épouse, était jalouse de la première, car, un jour, lors d’une de leurs disputes, Lassana avait un peu remonté les bretelles à Amy. Ce qui n’avait pas été du goût de cette dernière qui, depuis lors, boudait.
La partie civile, représentée par Bineta Kéita, n’a pas réclamé de réparation. Elle a même retiré sa plainte et a pardonné. « Je pardonne, car, je sais que rien ne me ramènera ma fille’’, a-t-elle déclaré.
Devant la barre, les témoins ont tous reconnu que, après 15 ans de mariage, c’était la première fois qu’ils assistaient à une dispute entre Lassana et Amy. Le parquetier, dans son réquisitoire, a souligné qu’au vu des éléments à sa disposition, rien ne montre qu’il s’agissait d’homicide volontaire. Il fait savoir également, d’après les conclusions du médecin légiste, qu’aucune trace laissant croire à une bagarre entre le prévenu et la victime n’a été relevée. Par conséquent, il a requalifié les faits en homicide involontaire et requis 6 mois avec sursis.