Les artisans établis au village artisanal de Saly Portudal doivent remercier le Ciel. En effet, dans ce haut lieu du tourisme et de l’artisanat local, la baraka divine a permis d’éviter un drame.
Dans la nuit du dimanche au lundi, alors que notre pays s’apprêtait à célébrer le 62e anniversaire de son indépendance, la chute d’un baobab niché au cœur de l’infrastructure a failli créer l’irréparable.
Sous le poids de l’âge, rapporte le quotidien Le Témoin dans son édition de ce mardi, le baobab en question avait fini de montrer tous les signes d’inquiétude pour les occupants des lieux.
Naturellement, ces derniers ne s’étaient pas fait prier pour en alerter les autorités municipales, le maire Ousmane Guèye en premier.
D’ailleurs, ce dernier, lors de la campagne des élections locales de janvier, aurait pris le ferme engagement de faire abattre l’arbre. Une promesse restée vaine.
En s’écroulant, alors que personne n’était assis sous son ombre, fort heureusement, le baobab a tout de même endommagé cinq cantines.
L’une des travailleuses de ce village artisanal, gagnée par la peur, dit s’en remettre à Dieu mais regrette avoir beaucoup perdu dans cet incident car ayant investi beaucoup d’argent dans la réfection de sa cantine.
Dans la nuit du dimanche au lundi, alors que notre pays s’apprêtait à célébrer le 62e anniversaire de son indépendance, la chute d’un baobab niché au cœur de l’infrastructure a failli créer l’irréparable.
Sous le poids de l’âge, rapporte le quotidien Le Témoin dans son édition de ce mardi, le baobab en question avait fini de montrer tous les signes d’inquiétude pour les occupants des lieux.
Naturellement, ces derniers ne s’étaient pas fait prier pour en alerter les autorités municipales, le maire Ousmane Guèye en premier.
D’ailleurs, ce dernier, lors de la campagne des élections locales de janvier, aurait pris le ferme engagement de faire abattre l’arbre. Une promesse restée vaine.
En s’écroulant, alors que personne n’était assis sous son ombre, fort heureusement, le baobab a tout de même endommagé cinq cantines.
L’une des travailleuses de ce village artisanal, gagnée par la peur, dit s’en remettre à Dieu mais regrette avoir beaucoup perdu dans cet incident car ayant investi beaucoup d’argent dans la réfection de sa cantine.