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Ces milliardaires qui financent et qui manipulent la presse sénégalaise (Leral)


Rédigé le Mercredi 20 Août 2014 à 19:29 | Lu 166 fois | 0 commentaire(s)



Ces milliardaires ont tous des pions répartis dans chaque secteur. Ils sont donc les premiers responsables des frasques politiques et people qu’ils suscitent.

Aujourd´hui nous assistons à une floraison notoire des magazines financés par les gros bonnets ou par leur bras droit. Ils ont une main mise sur des journalistes compétents ou médiocres, anciens ou récents.


Ces milliardaires qui financent et qui manipulent la presse sénégalaise (Leral)
Leral est donc en mesure de vous dire que ces manipulés de la presse roulent dans des voitures de luxe et habitent dans des villas grandioses. Ceux-là sirotent du Mojito dans des palaces, qui épousent plusieurs femmes et pourtant ils sont toujours à la recherche d´un top-model sénégalais. Corrompus, ils ne ratent jamais une occasion de proclamer leur professionnalisme et leur indépendance, une manière pour eux de se soulager moralement. 

Nous avons vu des journaux qui ont fait prématurément leur apparition et quelque temps après, ils disparaissent étrangement dans l´univers de la presse. Cette situation s´explique du fait que le riche corrupteur et la taupe corrompue ont eu des embrouilles, qui se répercutent ensuite sur le support manipulateur. 

Qui sont alors ces milliardaires ? 

Certains le traitent d´homosexuel et l´autre est très proche d´une très grande famille religieuse. Celui-ci est dans le pétrole et celui-là dans le domaine de la politique et économique. Lui est dans le domaine sportif et l´autre est tout simplement franc-maçon 

Rares sont les journaux qui gagnent de l'argent. D'ailleurs, ce n'est pas ce que recherchent les propriétaires des journaux. Ce que la possession d'un journal leur apporte, ce n'est pas des dividendes, c'est de l'influence : de l'influence qui permet d'obtenir des législations favorables à leurs activités, une fiscalité de complaisance pour leurs groupes financiers et des marchés (publics ou privés) de faveur. 

Le pire, c'est que cette influence permettant à quelques grandes fortunes puissantes de gagner beaucoup d'argent, c'est l'ensemble des Sénégalais qui la leur paie, car la presse écrite coûte près de deux milliards de Fcfa aux contribuables à la fois sous forme de niches fiscales et de subventions. 

leral avec vipeoples.net


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