Anicet Georges Dologuélé, Bertin Béa, Karim Meckassoua, Nicolas Tiangaye, Ferdinand Nguendet, Désiré Kolingba… Ils ont décidé de se regrouper dans une plateforme purement politique à la différence de celle d’E Zingo Biani qui accueille aussi des organisations de la société civile.
« Une convergence de points de vue » a permis ce regroupement expliquent-ils. Plusieurs thématiques réunissent ces leaders d’opposition : la dénonciation de l’accord de Khartoum et des violences qui se poursuivent sur le territoire ou encore leur désaccord quant à la mise en place du comité stratégique d’appui au processus électoral qu’ils qualifient de « machine de fraude ».
« Tout reste à définir », tempèrent certains. Et déjà des divergences pourraient diviser cette nouvelle union. En toile de fond, les élections générales de l’année prochaine.
Certains de ces leaders défendent l’idée d’une nouvelle transition estimant que les conditions sécuritaires ne sont pas réunies pour l’organisation du scrutin. D’autres veulent l’organisation d’élections crédibles dans les temps. Ce que défend le gouvernement, soutenu par la Minusca, qui souhaite coûte que coûte le respect du calendrier électoral.
« Une convergence de points de vue » a permis ce regroupement expliquent-ils. Plusieurs thématiques réunissent ces leaders d’opposition : la dénonciation de l’accord de Khartoum et des violences qui se poursuivent sur le territoire ou encore leur désaccord quant à la mise en place du comité stratégique d’appui au processus électoral qu’ils qualifient de « machine de fraude ».
« Tout reste à définir », tempèrent certains. Et déjà des divergences pourraient diviser cette nouvelle union. En toile de fond, les élections générales de l’année prochaine.
Certains de ces leaders défendent l’idée d’une nouvelle transition estimant que les conditions sécuritaires ne sont pas réunies pour l’organisation du scrutin. D’autres veulent l’organisation d’élections crédibles dans les temps. Ce que défend le gouvernement, soutenu par la Minusca, qui souhaite coûte que coûte le respect du calendrier électoral.