A 5 h du matin, le stade grouillait de monde et les gens avaient commencé à prendre place sur les gradins. Déjà à 8 h du matin, le stade était quasi-plein et partout, flottaient des drapelets de la Gambie. Il y avait une bousculade indescriptible devant les portes du stade. Certaines autorités gambiennes et des journalistes ont vécu le calvaire. La police gambienne qui avait déployé un nombre réduit de policiers est prise de court.
Devant le foule déterminée à accéder aux tribunes pour ne pas se faire raconter l'événement, les forces de police usaient de toutes leurs forces pour retenir le public derrière les barrières . Au fur et à mesure que le temps passait, l'insécurité grandissait non pas pour les officiels mais sur les gradins. En effet, au moment où la foule a envahi les pistes, certaines portes qui mènent à la tribune ont aussi été brisées, les secouristes couraient dans tous les sens.
Le président de la Cour Suprême, chef de la justice gambienne et son adjoint ont vécu un sale quart dheure, pour s'être retrouvés dans ce tourbillon et ont été bien secoués par la foule. La situation étant propice, les petits bandits en ont profité pour les délester de leurs téléphones portables.
Le cérémonial qui était prévu à 9 h n'a finalement pu démarrer que vers 15 h. En plus du grand retard, la cérémonie a tiré en longueur au point que les Présidents de Mauritanie, du Burkina Faso et du Ghana, ont quitté les lieux avant les discours de l'invité d'honneur, le Président Macky Sall et et le chef de l'Etat gambien Adama Barrow aux alentours de 18 h.
source: l'AS
Devant le foule déterminée à accéder aux tribunes pour ne pas se faire raconter l'événement, les forces de police usaient de toutes leurs forces pour retenir le public derrière les barrières . Au fur et à mesure que le temps passait, l'insécurité grandissait non pas pour les officiels mais sur les gradins. En effet, au moment où la foule a envahi les pistes, certaines portes qui mènent à la tribune ont aussi été brisées, les secouristes couraient dans tous les sens.
Le président de la Cour Suprême, chef de la justice gambienne et son adjoint ont vécu un sale quart dheure, pour s'être retrouvés dans ce tourbillon et ont été bien secoués par la foule. La situation étant propice, les petits bandits en ont profité pour les délester de leurs téléphones portables.
Le cérémonial qui était prévu à 9 h n'a finalement pu démarrer que vers 15 h. En plus du grand retard, la cérémonie a tiré en longueur au point que les Présidents de Mauritanie, du Burkina Faso et du Ghana, ont quitté les lieux avant les discours de l'invité d'honneur, le Président Macky Sall et et le chef de l'Etat gambien Adama Barrow aux alentours de 18 h.
source: l'AS