Oumar Diouf est prêt à tout pour sa dulcinée et n’a pas hésité à sacrifier son amitié avec Dioby Kande Diouf. Ce dernier l’a sévèrement payé pour avoir complimenté la beauté et les formes généreuses de sa copine. Ce fut la goutte de trop qui a fait sortir le prévenu de ses gonds. Dans une furie totale, Oumar Diouf a injurié Dioby Kandé Diouf avant de rouer de coups de couteau. Malgré l’intervention des riverains, Oumar Diouf n’a pas lâché prise, raconte "L'As".
D’autant qu’il est encore revenu à la charge avec un long couteau, pour en asséner plusieurs coups à son protagoniste qui n’a dû son salut qu’à ses amulettes d’invulnérabilité. Trainé hier devant la barre du tribunal des flagrants délits de Pikine-Guédiawaye pour coups et blessures volontaires (Cbv) indéterminés, le mis en cause a nié les délits de Cbv qui lui sont reprochés. «Je détenais un couteau pour éplucher une mangue. Je n’ai poignardé personne. A la suite d’une dispute qui nous a opposés, je me suis emporté. Mais plus tard, je lui ai demandé pardon et il a accepté», a-t-il expliqué.
Pour tirer d’affaires son ami, le plaignant a parlé devant la barre d’un petit couteau. Dioby Kande Diouf raconte qu’il s’est disputé avec son ami à cause d’une fille. «J’avais dit que la fille était belle et que je voulais la courtiser. Mais, il a mal interprété mes propos. Il a sorti le couteau et je l’ai esquivé. Il me l’a asséné à deux reprises. C’était un petit couteau. J’ai un talisman qui me protège contre les armes blanches», a indiqué la partie civile. Le ministère public a requis l’application de la loi. Le conseil de la défense estime que les faits sont constants, avant de plaider une application extrêmement bienveillante de la loi. Le prévenu a été déclaré coupable des faits qui lui sont reprochés et condamné à 6 mois avec sursis.
D’autant qu’il est encore revenu à la charge avec un long couteau, pour en asséner plusieurs coups à son protagoniste qui n’a dû son salut qu’à ses amulettes d’invulnérabilité. Trainé hier devant la barre du tribunal des flagrants délits de Pikine-Guédiawaye pour coups et blessures volontaires (Cbv) indéterminés, le mis en cause a nié les délits de Cbv qui lui sont reprochés. «Je détenais un couteau pour éplucher une mangue. Je n’ai poignardé personne. A la suite d’une dispute qui nous a opposés, je me suis emporté. Mais plus tard, je lui ai demandé pardon et il a accepté», a-t-il expliqué.
Pour tirer d’affaires son ami, le plaignant a parlé devant la barre d’un petit couteau. Dioby Kande Diouf raconte qu’il s’est disputé avec son ami à cause d’une fille. «J’avais dit que la fille était belle et que je voulais la courtiser. Mais, il a mal interprété mes propos. Il a sorti le couteau et je l’ai esquivé. Il me l’a asséné à deux reprises. C’était un petit couteau. J’ai un talisman qui me protège contre les armes blanches», a indiqué la partie civile. Le ministère public a requis l’application de la loi. Le conseil de la défense estime que les faits sont constants, avant de plaider une application extrêmement bienveillante de la loi. Le prévenu a été déclaré coupable des faits qui lui sont reprochés et condamné à 6 mois avec sursis.