Bombardier n’a pas attendu la retraite pour engager sa reconversion. Certes, il entend rester dans l’arène quand il ne sera plus un lutteur professionnel.
«Je ne veux pas que la lutte meure à Mbour avec ma retraite, justifie le B52 dans un entretien paru dans Sunu Lamb de ce lundi. Le jour où je vais arrêter, je vais accompagner mes poulains.» Mais parallèlement, il va consacrer plus de temps à ses activités d'homme d'affaires. Car, Bombardier s'active dans l’immobilier et la pêche. Il avait tenté de prospérer dans le transport, mais il a abandonné pour se concentrer sur ces deux domaines.
«J’ai des pirogues et des maisons, précise-t-il. La pêche c’est mon métier. Pour l’immobilier, je construis pour faire de la location. J’achète aussi pour revendre.»
Le Mbourois informe que ses affaires vont au-delà de Mbour. «Je suis partout, assure-t-il. Je n’ai pas de frontière. Si je vois que je peux investir et que je peux y gagner, je place mon argent.»
«Je ne veux pas que la lutte meure à Mbour avec ma retraite, justifie le B52 dans un entretien paru dans Sunu Lamb de ce lundi. Le jour où je vais arrêter, je vais accompagner mes poulains.»
«J’ai des pirogues et des maisons, précise-t-il. La pêche c’est mon métier. Pour l’immobilier, je construis pour faire de la location. J’achète aussi pour revendre.»
Le Mbourois informe que ses affaires vont au-delà de Mbour. «Je suis partout, assure-t-il. Je n’ai pas de frontière. Si je vois que je peux investir et que je peux y gagner, je place mon argent.»