Alors que le bilan définitif de cette attaque contre le village de Madoudji n’est toujours pas connu, une source sécuritaire confie que « au moins 23 orpailleurs ont été massacrés par des jihadistes ».
L’attaque s’est déroulée dans la nuit du vendredi 4 octobre. Plusieurs hommes armés ont surpris des chercheurs d’or artisanaux du quartier Dolmané et ont tiré sur eux.
Selon une autre source, il s’agissait d’une attaque terroriste contre les villageois pour les chasser de la zone. « Ces villageois constituent un obstacle contre l’attaque de la commune de Arbinda » fait savoir cet interlocuteur. Ces hommes travaillant sur ce site aurifère étaient perçus comme un frein contre une offensive sur la ville d’Arbinda, selon la même source sécuritaire.
Ces orpailleurs n’étaient pas les seules cibles des groupes armés. Ils se sont attaqués à un autre pont sur l’axe routier reliant Arbinda à Djibo, plus précisément dans la localité de Gaik Ngota.
La destruction de cette infrastructure routière est intervenue quelques heures après les tueries de Madoudji. « Nous avons entendu une forte déflagration dans la nuit » a déclaré un habitant d’Arbinda. Selon cet habitant, la situation se dégrade de jour en jour dans la province du Soum.
L’attaque s’est déroulée dans la nuit du vendredi 4 octobre. Plusieurs hommes armés ont surpris des chercheurs d’or artisanaux du quartier Dolmané et ont tiré sur eux.
Selon une autre source, il s’agissait d’une attaque terroriste contre les villageois pour les chasser de la zone. « Ces villageois constituent un obstacle contre l’attaque de la commune de Arbinda » fait savoir cet interlocuteur. Ces hommes travaillant sur ce site aurifère étaient perçus comme un frein contre une offensive sur la ville d’Arbinda, selon la même source sécuritaire.
Ces orpailleurs n’étaient pas les seules cibles des groupes armés. Ils se sont attaqués à un autre pont sur l’axe routier reliant Arbinda à Djibo, plus précisément dans la localité de Gaik Ngota.
La destruction de cette infrastructure routière est intervenue quelques heures après les tueries de Madoudji. « Nous avons entendu une forte déflagration dans la nuit » a déclaré un habitant d’Arbinda. Selon cet habitant, la situation se dégrade de jour en jour dans la province du Soum.