"La FIBA confirme que le rapport indépendant ne fournit aucune preuve à l’appui des allégations selon lesquelles, le président Hamane Niang, était au courant ou aurait dû être au courant des abus sexuels commis au sein de la Fédération malienne de basketball", affirme l’institution fédérale.
"L’officier d’intégrité [ayant] confirmé mon innocence, je vais maintenant reprendre mes fonctions officielles à la FIBA", a déclaré M. Niang, élu président de l’organisme international en août 2019.
L’enquête au terme de laquelle, il a été blanchi "est d’une importance primordiale", a-t-il jugé, assurant son "soutien personnel et inconditionnel aux victimes" des abus sexuels signalés.
"Ces infractions doivent être dûment poursuivies par la FIBA dans le cadre de procédures indépendantes", a soutenu Hamane Niang, ancien président de la Fédération malienne de basketball (FMB).
En juin dernier, il avait accepté de se retirer de la présidence de la FIBA, pendant qu’une enquête était menée sur les allégations de harcèlement sexuel à la FMB.
D’après Aps, les soupçons d’abus sexuels avaient été révélés par le journal américain The New York Times et Human Rights Watch, une organisation de défense des droits de l’homme, poussant la FIBA à ouvrir une enquête.
"L’officier d’intégrité [ayant] confirmé mon innocence, je vais maintenant reprendre mes fonctions officielles à la FIBA", a déclaré M. Niang, élu président de l’organisme international en août 2019.
L’enquête au terme de laquelle, il a été blanchi "est d’une importance primordiale", a-t-il jugé, assurant son "soutien personnel et inconditionnel aux victimes" des abus sexuels signalés.
"Ces infractions doivent être dûment poursuivies par la FIBA dans le cadre de procédures indépendantes", a soutenu Hamane Niang, ancien président de la Fédération malienne de basketball (FMB).
En juin dernier, il avait accepté de se retirer de la présidence de la FIBA, pendant qu’une enquête était menée sur les allégations de harcèlement sexuel à la FMB.
D’après Aps, les soupçons d’abus sexuels avaient été révélés par le journal américain The New York Times et Human Rights Watch, une organisation de défense des droits de l’homme, poussant la FIBA à ouvrir une enquête.