Le Cadre Unitaire de l’Islam au Sénégal (Cudis) s’est réjoui de la dynamique de non-violence qui a prévalu lors des dernières territoriales. Son Secrétaire général, Dr. Cheikh Guèye, s’est dit « très heureux d’avoir suscité, de concert avec la plateforme Jammi Rewmi et en collaboration avec des coalitions politiques, ce débat portant charte de non-violence ».
Même si le Cadre s’y est pris tard, il soutient qu’«à l’heure du bilan, nous sommes très satisfaits ». Il rappelle: « nous avons fait notre déclaration à la Grande mosquée de Dakar, suivie des consultations inclusives menées depuis un mois sous l’égide des autorités religieuses et coutumières ainsi que des régulateurs sociaux. Des consultations sanctionnées par des rencontres avec les différents acteurs de l’espace partisan, regroupés autour de coalitions politiques et avec le président de la République ».
Selon le Secrétaire général du Cadre Unitaire de l’Islam au Sénégal, « notre premier objectif était d’installer, dans la perspective des territoriales, le débat dans l’espace politique pour éviter la reproduction des violentes manifestations de mars 2021 ». Sous ce rapport, il estime que « le débat programmatique a eu lieu pendant deux mois ».
D'après "Vipeoples ", Dr. Gueye a salué « le sens de responsabilité des acteurs politiques de tous bords, des mouvements citoyens, des organisations syndicales et patronales, qui ont fait part de leurs préoccupations et dont les positions exprimées ont fait l’objet d’ approfondissement, qui ont été prises en compte dans la rédaction de la mouture finale de la Charte de non-violence ».
« Il y en a qui ont approuvé et d’autres qui ont émis quelques réserves », a fait remarquer Dr. Guèye. Aussi, ajoute-t-il, « le cadre se projette vers les futures échéances électorales ». A cet effet, il a invité les parties prenantes à « faire de la non-violence, une culture politique en vue de consolider nos acquis démocratiques ». Convaincu que « la signature de cette charte par tous les acteurs et le respect des engagements, contribueront à pacifier le jeu politique et l’espace public », il leur demande de « poursuivre la dynamique de paix enclenchée en perspective des élections législatives ».
Enfin, suite aux observations portant sur quelques cas de violences notées durant les Territoriales, Cheikh Guèye assure que le Cudis s’engage à « poursuivre le monitoring pour identifier les éléments de conflit comme la fixation de la date des prochaines Législatives ainsi que tous les éléments qui peuvent générer des conflits entre les acteurs ».
Même si le Cadre s’y est pris tard, il soutient qu’«à l’heure du bilan, nous sommes très satisfaits ». Il rappelle: « nous avons fait notre déclaration à la Grande mosquée de Dakar, suivie des consultations inclusives menées depuis un mois sous l’égide des autorités religieuses et coutumières ainsi que des régulateurs sociaux. Des consultations sanctionnées par des rencontres avec les différents acteurs de l’espace partisan, regroupés autour de coalitions politiques et avec le président de la République ».
Selon le Secrétaire général du Cadre Unitaire de l’Islam au Sénégal, « notre premier objectif était d’installer, dans la perspective des territoriales, le débat dans l’espace politique pour éviter la reproduction des violentes manifestations de mars 2021 ». Sous ce rapport, il estime que « le débat programmatique a eu lieu pendant deux mois ».
D'après "Vipeoples ", Dr. Gueye a salué « le sens de responsabilité des acteurs politiques de tous bords, des mouvements citoyens, des organisations syndicales et patronales, qui ont fait part de leurs préoccupations et dont les positions exprimées ont fait l’objet d’ approfondissement, qui ont été prises en compte dans la rédaction de la mouture finale de la Charte de non-violence ».
« Il y en a qui ont approuvé et d’autres qui ont émis quelques réserves », a fait remarquer Dr. Guèye. Aussi, ajoute-t-il, « le cadre se projette vers les futures échéances électorales ». A cet effet, il a invité les parties prenantes à « faire de la non-violence, une culture politique en vue de consolider nos acquis démocratiques ». Convaincu que « la signature de cette charte par tous les acteurs et le respect des engagements, contribueront à pacifier le jeu politique et l’espace public », il leur demande de « poursuivre la dynamique de paix enclenchée en perspective des élections législatives ».
Enfin, suite aux observations portant sur quelques cas de violences notées durant les Territoriales, Cheikh Guèye assure que le Cudis s’engage à « poursuivre le monitoring pour identifier les éléments de conflit comme la fixation de la date des prochaines Législatives ainsi que tous les éléments qui peuvent générer des conflits entre les acteurs ».