’’C’est effectivement un viol suivi de meurtre. Nous avons fait les constatations sur place. Avec les autorités, nous nous sommes rendus sur les lieux ce matin’’, a confié à l’APS la même source.
’’Nous nous sommes réveillés ce matin, on n’a pas vu notre grande sœur. Pourtant la porte de sa chambre restait ouverte, ainsi que sa fenêtre. On pensait qu’elle était sortie sans fermer sa chambre (…) On est entré mais on l’a retrouvée morte sur son lit’’, a témoigné le frère de la victime, Lamine Kéba Badji.
Il a ajouté que sa sœur, qui observait une période de veuvage, a ‘’été violée avant d’être tuée sur son propre lit’’. ‘’Le meurtrier aurait escaladé le mur et défoncé la fenêtre’’, a-t-il poursuivi.
La gendarmerie locale qui a appelé en renfort la brigade de recherches, a ouvert une enquête sur cette affaire qui a déjà jeté le quartier de Château d’eau de Bignona dans l’émoi.
‘’Nous sommes surtout préoccupés par le défaut de sécurité. Si on n’a pas la sécurité chez-soi, où est-ce qu’on peut l’avoir ?’’, s’est interrogé, non sans dépit, Lamine Kéba Badji.
La gendarmerie confie avoir reçu trois informations similaires à ce cas en deux mois, mais ‘’l’absence d’un indice clair nous empêche de mettre la main sur l’auteur ou les auteurs de cette série de viols’’, selon une source.
‘’Mais nous y travaillons d’arrache-pied avec l’enquête qui est déjà ouverte pour mettre fin à tout cela’’, a t-elle rassuré.
APS
’’Nous nous sommes réveillés ce matin, on n’a pas vu notre grande sœur. Pourtant la porte de sa chambre restait ouverte, ainsi que sa fenêtre. On pensait qu’elle était sortie sans fermer sa chambre (…) On est entré mais on l’a retrouvée morte sur son lit’’, a témoigné le frère de la victime, Lamine Kéba Badji.
Il a ajouté que sa sœur, qui observait une période de veuvage, a ‘’été violée avant d’être tuée sur son propre lit’’. ‘’Le meurtrier aurait escaladé le mur et défoncé la fenêtre’’, a-t-il poursuivi.
La gendarmerie locale qui a appelé en renfort la brigade de recherches, a ouvert une enquête sur cette affaire qui a déjà jeté le quartier de Château d’eau de Bignona dans l’émoi.
‘’Nous sommes surtout préoccupés par le défaut de sécurité. Si on n’a pas la sécurité chez-soi, où est-ce qu’on peut l’avoir ?’’, s’est interrogé, non sans dépit, Lamine Kéba Badji.
La gendarmerie confie avoir reçu trois informations similaires à ce cas en deux mois, mais ‘’l’absence d’un indice clair nous empêche de mettre la main sur l’auteur ou les auteurs de cette série de viols’’, selon une source.
‘’Mais nous y travaillons d’arrache-pied avec l’enquête qui est déjà ouverte pour mettre fin à tout cela’’, a t-elle rassuré.
APS