Entre le nouveau maire de Dakar, Barthélémy Dias et Alioune Ndoye, maire de Dakar plateau, c’est la guerre des mots pour la gestion du marché Sandaga. Si M. Ndoye estime que Dias-fils n'aura pas une once du marché, Barthélémy ne l'entend pas de cette oreille. Pour les commerçants, il faut savoir raison garder et tendre vers le dialogue. Sous le magistère de Soham Wardini, le débat a fait rage entre le elle et Alioune Ndoye qui brandissait le droit.
« Je ne ferai rien qui risquerait de passer outre le droit. Nous maîtrisons ce que nous disons. Le marché Sandaga fait partie de la commune de Dakar Plateau. Donc, le débat est clos », avait-il laissé entendre.
Soham emportée par les Locales, l'inquiétude demeure chez les commerçants qui vont assister à un autre bras de fer. Selon des commerçants interpellés sur la question, il faut que les deux parties puissent dialoguer.
« Chacun revendique la paternité du marché, mais il faut aussi penser aux intérêts des commerçants. Nous sommes bien concernés par cette histoire », indique Zico Mbaye, installé à Galerie Peytavin. Pour lui, c’est la justice qui est habilitée à trancher cette affaire.
« Je dirai qu'il faut trouver un consensus autour de la question. Que la ville de Dakar sache là où commence son autorité, de même que l'autre partie. Le commerçant ne sera pas avantagé s'il y a des tiraillements de ce genre », ajoute-t-il. A la rue de Thiong, d’aucuns appellent à l'union des cœurs. De l'avis de Mamadou Mbengue, il faut décanter la situation.
« C’est Alioune Ndoye qui avait remporté ce projet si je ne m'abuse. Il avait amené sa maquette pour commencer à travailler. Les deux institutions sont inséparables », renchérit notre interlocuteur.
Pathé Mbaye dit la même chose, notant que le marché ne doit pas faire l’objet de querelles entre les deux maires. « S'ils sont animés par le fait que Sandaga doit rayonner, ils sont obligés de travailler main dans la main. Travailler en symbiose est la seule solution », assure-t-il.
Rewmi
« Je ne ferai rien qui risquerait de passer outre le droit. Nous maîtrisons ce que nous disons. Le marché Sandaga fait partie de la commune de Dakar Plateau. Donc, le débat est clos », avait-il laissé entendre.
Soham emportée par les Locales, l'inquiétude demeure chez les commerçants qui vont assister à un autre bras de fer. Selon des commerçants interpellés sur la question, il faut que les deux parties puissent dialoguer.
« Chacun revendique la paternité du marché, mais il faut aussi penser aux intérêts des commerçants. Nous sommes bien concernés par cette histoire », indique Zico Mbaye, installé à Galerie Peytavin. Pour lui, c’est la justice qui est habilitée à trancher cette affaire.
« Je dirai qu'il faut trouver un consensus autour de la question. Que la ville de Dakar sache là où commence son autorité, de même que l'autre partie. Le commerçant ne sera pas avantagé s'il y a des tiraillements de ce genre », ajoute-t-il. A la rue de Thiong, d’aucuns appellent à l'union des cœurs. De l'avis de Mamadou Mbengue, il faut décanter la situation.
« C’est Alioune Ndoye qui avait remporté ce projet si je ne m'abuse. Il avait amené sa maquette pour commencer à travailler. Les deux institutions sont inséparables », renchérit notre interlocuteur.
Pathé Mbaye dit la même chose, notant que le marché ne doit pas faire l’objet de querelles entre les deux maires. « S'ils sont animés par le fait que Sandaga doit rayonner, ils sont obligés de travailler main dans la main. Travailler en symbiose est la seule solution », assure-t-il.
Rewmi