D’après L’Observateur, qui donne l’information dans son édition de ce mardi, le patron de la Banque agricole a découvert le trou lors d’un audit interne. Il a alerté le Conseil d’administration avant de saisir la DIC.
D’après le journal les soupçons se sont orientés vers Birima Diouf, le responsable des Grands comptes, des Institutions et des Projets de l’Etat au niveau de la Banque agricole. Convoqué par les enquêteurs, jeudi 11 août, pour une audition, ce dernier a disparu dans la nature la veille.
Son épouse a appelé son directeur pour l’informer qu’elle n’avait plus de nouvelles de son mari depuis trois jours (entre 10 et le 12 août). Précisant qu’en quittant son domicile, Birima Diouf a déclaré qu’il se rendait à «une rencontre de quelques minutes avec des hommes d’affaires».
Birima Diouf est présenté comme un «as de l’informatique». Il rechargeait les cartes bancaires prépayées à partir des ordinateurs de ses collègues en utilisant leur mot de passe. «Il pompait chaque vendredi dix millions de francs CFA dans chaque machine», confie une source de L’Observateur, qui indique qu’il pouvait ainsi se retrouver chaque semaine avec 40 millions.
Le journal rapporte que le mis en cause aurait «bénéficié de la complicité d’au moins quatre agents» dont les identités n’ont pas été révélées. La DIC est aux trousses de Birima Diouf. Elle a émis un signalement à la Police des airs et des frontières.
S clic-afrique.com
D’après le journal les soupçons se sont orientés vers Birima Diouf, le responsable des Grands comptes, des Institutions et des Projets de l’Etat au niveau de la Banque agricole. Convoqué par les enquêteurs, jeudi 11 août, pour une audition, ce dernier a disparu dans la nature la veille.
Son épouse a appelé son directeur pour l’informer qu’elle n’avait plus de nouvelles de son mari depuis trois jours (entre 10 et le 12 août). Précisant qu’en quittant son domicile, Birima Diouf a déclaré qu’il se rendait à «une rencontre de quelques minutes avec des hommes d’affaires».
Birima Diouf est présenté comme un «as de l’informatique». Il rechargeait les cartes bancaires prépayées à partir des ordinateurs de ses collègues en utilisant leur mot de passe. «Il pompait chaque vendredi dix millions de francs CFA dans chaque machine», confie une source de L’Observateur, qui indique qu’il pouvait ainsi se retrouver chaque semaine avec 40 millions.
Le journal rapporte que le mis en cause aurait «bénéficié de la complicité d’au moins quatre agents» dont les identités n’ont pas été révélées. La DIC est aux trousses de Birima Diouf. Elle a émis un signalement à la Police des airs et des frontières.
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