L’agression de la parlementaire Amy Ndiaye Gniby par ses deux collègues députés de la coalition Yewwi Askan Wi, continue de susciter une vague d’indignation de la part de l’opinion publique. Après la sortie de ses collègues députés de la coalition BBY pour dénoncer cette agression, c’est au tour du parlement de la CEDEAO de condamner cet acte, qu’il qualifie « d’ignoble et d’indigne ».
D'aprés Les informations de "Libération" reprises par "Rewmi", la député de Kaffrine a donné sa version des faits dans une vidéo devenue virale. Elle a aussi fait part aux policiers, de son intention de porter plainte. Ce qui est d’ailleurs fait. Selon "Libération", l’avocat de la victime, Me Boubacar Cissé, a déposé au niveau du parquet la plainte contre les mis en cause. Il vise l’association de malfaiteurs, voies de fait, coups et blessures volontaires. Traqués par la DIC, Massata Samb et Mamadou Niang sont introuvables.
Par ailleurs, l’instance parlementaire qui rappelle à l’État du Sénégal les instruments qu’il a ratifiés relatifs aux violences basées sur le genre, invite l’État Sénégalais, en collaboration avec l’Assemblée nationale du Sénégal, à prendre les dispositions nécessaires pour que justice soit faite sur cet événement malheureux. « Le Parlement de la CEDEAO rappelle que l’État du Sénégal, outre sa loi fondamentale, a signé et ratifié les instruments internationaux légaux relatifs aux violences basées sur le genre ; Réaffirme que cet acte, quelles que soient les circonstances ne saurait être justifié ni toléré dans un pays qui garantit la parité homme et femme en politique.
Considérant que l’un des principaux objectifs de la 5e législature du Parlement de la CEDEAO, est de renforcer la participation des femmes à la politique et que l’action telle qu’elle a été constatée est très regrettable, en ce qu’ elle envoie des impressions négatives sur les gains réalisés au cours des dernières années, le Parlement de la CEDEAO continuera à soutenir et à plaider pour une participation accrue des femmes et à condamner tout acte de violence et d’abus contre les femmes en général.
Tout en souhaitant prompt rétablissement à la Députée victime, le Parlement de la CEDEAO exhorte l’État Sénégalais, en collaboration avec l’Assemblée nationale du Sénégal, à prendre les dispositions nécessaires pour que justice soit faite sur cet événement malheureux », conclut le communiqué signé par le président du Parlement de la CEDEAO, Dr. Sidie Mohamed Tunis.
D'aprés Les informations de "Libération" reprises par "Rewmi", la député de Kaffrine a donné sa version des faits dans une vidéo devenue virale. Elle a aussi fait part aux policiers, de son intention de porter plainte. Ce qui est d’ailleurs fait. Selon "Libération", l’avocat de la victime, Me Boubacar Cissé, a déposé au niveau du parquet la plainte contre les mis en cause. Il vise l’association de malfaiteurs, voies de fait, coups et blessures volontaires. Traqués par la DIC, Massata Samb et Mamadou Niang sont introuvables.
Par ailleurs, l’instance parlementaire qui rappelle à l’État du Sénégal les instruments qu’il a ratifiés relatifs aux violences basées sur le genre, invite l’État Sénégalais, en collaboration avec l’Assemblée nationale du Sénégal, à prendre les dispositions nécessaires pour que justice soit faite sur cet événement malheureux. « Le Parlement de la CEDEAO rappelle que l’État du Sénégal, outre sa loi fondamentale, a signé et ratifié les instruments internationaux légaux relatifs aux violences basées sur le genre ; Réaffirme que cet acte, quelles que soient les circonstances ne saurait être justifié ni toléré dans un pays qui garantit la parité homme et femme en politique.
Considérant que l’un des principaux objectifs de la 5e législature du Parlement de la CEDEAO, est de renforcer la participation des femmes à la politique et que l’action telle qu’elle a été constatée est très regrettable, en ce qu’ elle envoie des impressions négatives sur les gains réalisés au cours des dernières années, le Parlement de la CEDEAO continuera à soutenir et à plaider pour une participation accrue des femmes et à condamner tout acte de violence et d’abus contre les femmes en général.
Tout en souhaitant prompt rétablissement à la Députée victime, le Parlement de la CEDEAO exhorte l’État Sénégalais, en collaboration avec l’Assemblée nationale du Sénégal, à prendre les dispositions nécessaires pour que justice soit faite sur cet événement malheureux », conclut le communiqué signé par le président du Parlement de la CEDEAO, Dr. Sidie Mohamed Tunis.