Bineta Nd, qui habite à Grand Mbao, vivait calmement dans son ménage. Apres 4 ans, elle divorce d’avec son mari qui vit en Europe ; le tribunal décide de donner la garde de trois enfants majeurs au mari et dame prends les deux autres enfants mineurs.
L’époux expatrié se remarie avec bineta D. et se la coule douce avec sa nouvelle dulcinée pendant ses brefs séjours au Sénégal à la cité Hamo3 de Guediawaye.
A la fin des grandes vacances scolaires de 2016 Bineta D. accompagnée de sa mère, ramène les enfants de son mari chez leurs mamans Bineta Nd, alias Nafy, domiciliée à Grand Mbao. Mais, à leur arrivée dans l’appartement, une vive dispute éclate entre les deux dames, qui échangent des propos discourtois. Elles en viennent aussitôt aux mains et se cognent fortement dessus.
Bineta Nd. étant en mauvaise posture, se défait de l’étreinte, ramasse un bâton hérissé de pointes et se jette sur la femme de son ex-mari. Elle s’acharne avec une violence inouïe sur celle-ci et lui occasionne de graves blessures sur tout le corps. Evacué d’urgence à l’hôpital, la pauvre dame est admise en salle de soins intensifs durant des jours, où elle luttera contre l’ange de la mort qui semblait lui tendre les bras. Mais, par miracle, elle parvient néanmoins à se relever, se procure un certificat médical de 45 jours d’incapacité temporaire de travail et déposé une plainte au parquet du tribunal départemental de Pikine. Même si son antagoniste a voulu prendre les devants et saisir d’une plainte la brigade de gendarmerie.
Apres l’instruction du dossier de Bineta D, le représentant du ministère public adresse un soit transmis (st) aux pandores de la zone franche qui ouvre une enquête et interpelle Nafy. Pressée de questions, la jeune femme reconnait sans fioritures avoir cogné l’épouse de son ex-mari avec le bâton en question et se confond et excuses. Elle a été placée en garde-à -vue, puis présentée devant le substitut délégué du parquet de Pikine pour coups et blessures volontaires à l’encontre de Bineta D.
Aux dernières nouvelles, la mise en cause a bénéficié d’un retour au parquet pour audition de témoins alors que celle-ci a avoué sur toute la ligne les faits incriminés.
Source Les Echos
L’époux expatrié se remarie avec bineta D. et se la coule douce avec sa nouvelle dulcinée pendant ses brefs séjours au Sénégal à la cité Hamo3 de Guediawaye.
A la fin des grandes vacances scolaires de 2016 Bineta D. accompagnée de sa mère, ramène les enfants de son mari chez leurs mamans Bineta Nd, alias Nafy, domiciliée à Grand Mbao. Mais, à leur arrivée dans l’appartement, une vive dispute éclate entre les deux dames, qui échangent des propos discourtois. Elles en viennent aussitôt aux mains et se cognent fortement dessus.
Bineta Nd. étant en mauvaise posture, se défait de l’étreinte, ramasse un bâton hérissé de pointes et se jette sur la femme de son ex-mari. Elle s’acharne avec une violence inouïe sur celle-ci et lui occasionne de graves blessures sur tout le corps. Evacué d’urgence à l’hôpital, la pauvre dame est admise en salle de soins intensifs durant des jours, où elle luttera contre l’ange de la mort qui semblait lui tendre les bras. Mais, par miracle, elle parvient néanmoins à se relever, se procure un certificat médical de 45 jours d’incapacité temporaire de travail et déposé une plainte au parquet du tribunal départemental de Pikine. Même si son antagoniste a voulu prendre les devants et saisir d’une plainte la brigade de gendarmerie.
Apres l’instruction du dossier de Bineta D, le représentant du ministère public adresse un soit transmis (st) aux pandores de la zone franche qui ouvre une enquête et interpelle Nafy. Pressée de questions, la jeune femme reconnait sans fioritures avoir cogné l’épouse de son ex-mari avec le bâton en question et se confond et excuses. Elle a été placée en garde-à -vue, puis présentée devant le substitut délégué du parquet de Pikine pour coups et blessures volontaires à l’encontre de Bineta D.
Aux dernières nouvelles, la mise en cause a bénéficié d’un retour au parquet pour audition de témoins alors que celle-ci a avoué sur toute la ligne les faits incriminés.
Source Les Echos