Selon lui, cette posture des députés peut être une cause d’instabilité dans le pays. En effet, Babacar MBOUP estime que ces parlementaires sont « hors-la loi » car ils n’ont pas respecté les principes directeurs qui régissent leur fonction au sein de l’Assemblée nationale.
« Ces députés sont passés outre la loi. Parce que quelqu’un qui est censé voter des lois, et montrer la voie pour que tout le monde puisse les respecter pour la stabilité de ce pays, s’il passe outre la loi, il donne un signal fort aux populations pour leur dire vous aussi faites ce que vous voulez. Et si on arrive à ce stade, ce sera la fin de cette République-là », a martelé Babacar MBOUP invité à l’émission Balance de WalfTv.
Poursuivant, il estime que « dans ce combat, il y a des gens qui y voient la religion ». Mais à l’en croire, c’est d’abord un débat de société. Et, « il est nécessaire de faire primer la stabilité et la paix dans la paix », en respectant la volonté de la majorité.
Par ailleurs, le coordonnateur du collectif s’est offusqué du traitement que les pouvoirs réservent aux chefs religieux à chaque fois qu’il est question de changements sociétaux. Selon lui « on ne donne aucun respect aux chefs religieux qui jouent simplement le rôle de sapeur-pompier quand il y a une crise ».
« Ces députés sont passés outre la loi. Parce que quelqu’un qui est censé voter des lois, et montrer la voie pour que tout le monde puisse les respecter pour la stabilité de ce pays, s’il passe outre la loi, il donne un signal fort aux populations pour leur dire vous aussi faites ce que vous voulez. Et si on arrive à ce stade, ce sera la fin de cette République-là », a martelé Babacar MBOUP invité à l’émission Balance de WalfTv.
Poursuivant, il estime que « dans ce combat, il y a des gens qui y voient la religion ». Mais à l’en croire, c’est d’abord un débat de société. Et, « il est nécessaire de faire primer la stabilité et la paix dans la paix », en respectant la volonté de la majorité.
Par ailleurs, le coordonnateur du collectif s’est offusqué du traitement que les pouvoirs réservent aux chefs religieux à chaque fois qu’il est question de changements sociétaux. Selon lui « on ne donne aucun respect aux chefs religieux qui jouent simplement le rôle de sapeur-pompier quand il y a une crise ».