"On est dans un monde où chacun est libre de dire ce qu'il pense. Je ne peux pas être là à répondre à chaque personne. Je ne me considère pas comme un grand chanteur. Je me considère comme un rien du tout. Je suis très sérieux. Je me dis que c'est ça la musique. Chacun est libre d'essayer quelque chose. Tout comme les gens sont aussi libres d'écouter ou de ne pas écouter, d'aimer ou de ne pas aimer. Ce qui est dommage, c'est de voir des Sénégalais être contre un projet d'un autre Sénégalais alors qu'il y a des Européens et autres qui soutiennent ce projet. Ce n'est pas la première fois. C'était aussi compliqué avec "Never say never". J'ai dû laisser le morceau dans "Un café avec..." (télé-réalité diffusée sur la Tfm) les gens ne connaissaient pas son auteur et ont commencé à télécharger le morceau et à l'aimer. Quand je l'ai "clipé", tout le monde était surpris. Et ce sont ces gens-là (qui critiquent). On les appelle des "haters", ils forment un bloc et attendent qu'on passe sur un site et font passer une q"On est dans un monde où chacun est libre de dire ce qu'il pense. Je ne peux pas être là à répondre à chaque personne. Je ne me considère pas comme un grand chanteur. Je me considère comme un rien du tout. Je suis très sérieux. Je me dis que c'est ça la musique. Chacun est libre d'essayer quelque chose. Tout comme les gens sont aussi libres d'écouter ou de ne pas écouter, d'aimer ou de ne pas aimer. Ce qui est dommage, c'est de voir des Sénégalais être contre un projet d'un autre Sénégalais alors qu'il y a des Européens et autres qui soutiennent ce projet. Ce n'est pas la première fois. C'était aussi compliqué avec "Never say never". J'ai dû laisser le morceau dans "Un café avec..." (télé-réalité diffusée sur la Tfm) les gens ne connaissaient pas son auteur et ont commencé à télécharger le morceau et à l'aimer. Quand je l'ai "clipé", tout le monde était surpris. Et ce sont ces gens-là (qui critiquent). On les appelle des "haters",
"On est dans un monde où chacun est libre de dire ce qu'il pense. Je ne peux pas être là à répondre à chaque personne. Je ne me considère pas comme un grand chanteur. Je me considère comme un rien du tout. Je suis très sérieux. Je me dis que c'est ça la musique. Chacun est libre d'essayer quelque chose. Tout comme les gens sont aussi libres d'écouter ou de ne pas écouter, d'aimer ou de ne pas aimer. Ce qui est dommage, c'est de voir des Sénégalais être contre un projet d'un autre Sénégalais alors qu'il y a des Européens et autres qui soutiennent ce projet. Ce n'est pas la première fois. C'était aussi compliqué avec "Never say never". J'ai dû laisser le morceau dans "Un café avec..." (télé-réalité diffusée sur la Tfm) les gens ne connaissaient pas son auteur et ont commencé à télécharger le morceau et à l'aimer. Quand je l'ai "clipé", tout le monde était surpris. Et ce sont ces gens-là (qui critiquent). On les appelle des "haters", ils forment un bloc et attendent qu'on passe sur un site et font passer une quarantaine ou plus de messages négatifs pour orst dans un monde où chacun est libre de dire ce qu'il pense. Je ne peux pas être là à répondre à chaque personne. Je ne me considère pas comme un grand chanteur. Je me considère comme un rien du tout. Je suis très sérieux. Je me dis que c'est ça la musique. Chacun est libre d'essayer quelque chose. Tout comme les gens sont aussi libres d'écouter ou de ne pas écouter, d'aimer ou de ne pas aimer. Ce qui est dommage, c'est de voir des Sénégalais être contre un projet d'un autre Sénégalais alors qu'il y a des Européens et autres qui soutiennent ce projet. Ce n'est pas la première fois. C'était aussi compliqué avec "Never say never". J'ai dû laisser le morceau dans "Un café avec..." (télé-réalité diffusée sur la Tfm) les gens ne connaissaient pas son auteur et ont commencé à télécharger le morceau et à l'aimer. Quand je l'ai "clipé", tout le monde était surpris. Et ce sont ces gens-là (qui critiquent). On les appelle des "haters", ils forment un bloc et attendent qu'on passe sur un site et font passer une quarantaine ou plus de messages négatifs pour orienter l'opinion. J'ai fait de la communication. Je sais comment ça marche. Cela ne peut pas me déstabiliser", a dit le jeune chanteur. ist dans un monde où chacun est libre de dire ce qu'il pense. Je ne peux pas être là à répondre à chaque personne. Je ne me considère pas comme un grand chanteur. Je me considère comme un rien du tout. Je suis très sérieux. Je me dis que c'est ça la musique. Chacun est libre d'essayer quelque chose. Tout comme les gens sont aussi libres d'écouter ou de ne pas écouter, d'aimer ou de ne pas aimer. Ce qui est dommage, c'est de voir des Sénégalais être contre un projet d'un autre Sénégalais alors qu'il y a des Européens et autres qui soutiennent ce projet. Ce n'est pas la première fois. C'était aussi compliqué avec "Never say never". J'ai dû laisser le morceau dans "Un café avec..." (télé-réalité diffusée sur la Tfm) les gens ne connaissaient pas son auteur et ont commencé à télécharger le morceau et à l'aimer. Quand je l'ai "clipé", tout le monde était surpris. Et ce sont ces gens-là (qui critiquent). On les appelle des "haters", ils forment un bloc et attendent qu'on passe sur un site et font passer une quarantaine ou plus de messages négatifs pour orienter l'opinion. J'ai fait de la communication. Je sais comment ça marche. Cela ne peut pas me déstabiliser", a dit le jeune chanteur.ls forment un bloc et attendent qu'on passe sur un site et font passer une quarantaine ou plus de messages négatifs pour orienter l'opinion. J'ai fait de la communication. Je sais comment ça marche. Cela ne peut pas me déstabiliser", a dit le jeune chanteur.uarantaine ou plus de messages négatifs pour orienter l'opinion. J'ai fait de la communication. Je sais comment ça marche. Cela ne peut pas me déstabiliser", a dit le jeune chanteur.
Leral.net
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