Le président du groupe parlementaire Benno Bokk Yakaar (BBY) Aymérou Gningue réfute les accusations de Ousmane Sonko, selon lesquelles la séance plénière sur l’affaire des 94 milliards est le prolongement d’un plan savamment orchestré par le pouvoir pour mettre fin à ses ambitions politiques.
D’après lui, le leader du Pastef surestime sa personne et « se prend pour ce qu'il n'est pas. L'Assemblée a autre chose à faire que de convoquer une plénière pour sa personne. S'il le pense, c'est parce qu'il ignore les règles qui régissent le fonctionnement de l'institution », explique le responsable de l’Apr interrogé par pressafrik.
« A l'Assemblée, ajoute-t-il, il n'y a aucun plan ourdi contre qui que soit. Nous avons beaucoup de matières dont le contrôle et l'encadrement du gouvernement pour l'atteinte des objectifs fixés dans le Plan Sénégal émergent (Pse). La loi a une portée générale. Elle est impersonnelle. Je crois que notre collègue devrait, s'il a des preuves, les donner. A défaut de les remettre à la commission parlementaire, il n'a qu'à les présenter aux Sénégalais à travers la presse. Quand on est tellement habitué au buzz, on ne manque pas de réseaux pour exhiber des preuves.»
D’après lui, le leader du Pastef surestime sa personne et « se prend pour ce qu'il n'est pas. L'Assemblée a autre chose à faire que de convoquer une plénière pour sa personne. S'il le pense, c'est parce qu'il ignore les règles qui régissent le fonctionnement de l'institution », explique le responsable de l’Apr interrogé par pressafrik.
« A l'Assemblée, ajoute-t-il, il n'y a aucun plan ourdi contre qui que soit. Nous avons beaucoup de matières dont le contrôle et l'encadrement du gouvernement pour l'atteinte des objectifs fixés dans le Plan Sénégal émergent (Pse). La loi a une portée générale. Elle est impersonnelle. Je crois que notre collègue devrait, s'il a des preuves, les donner. A défaut de les remettre à la commission parlementaire, il n'a qu'à les présenter aux Sénégalais à travers la presse. Quand on est tellement habitué au buzz, on ne manque pas de réseaux pour exhiber des preuves.»