Ce lundi soir devait être une dernière soirée de liberté pour les viennois qui à compter de ce mardi sont soumis, comme le reste du pays, à un couvre-feu nocturne en raison de la pandémie de coronavirus. Mais c’est l’horreur qui a frappé la capitale autrichienne, rapporte notre correspondante à Vienne, Isaure Hiace.
La fusillade a éclaté vers 20h dans le centre historique de Vienne près d'une synagogue. La police fait état de plusieurs assaillants armés de fusils et indique que six lieux différents ont été visés. Selon le dernier bilan, l'attaque a fait au moins trois victimes, deux hommes et une femme. Une quinzaine de blessés sont également à déplorer, parmi lesquels un officier de police.
Un des assaillants a été abattu par la police. Lors d'une conférence de presse mardi matin, le ministre autrichien de l'Intérieur a indiqué qu'il s'agirait d'« un sympathisant » du groupe État islamique. Les enquêteurs ont accédé à son logement en forçant la porte avec des explosifs, a-t-il précisé, sans souhaiter donner devantage de détails sur le profil de l'attaquant. Karl Nehammer a également déclaré qu'il était équipé d'un fusil d'assaut et d'une ceinture d'explosifs qui s'est révélée factice. Le ministre a précisé qu'au moins un autre suspect était en fuite.
La fusillade a éclaté vers 20h dans le centre historique de Vienne près d'une synagogue. La police fait état de plusieurs assaillants armés de fusils et indique que six lieux différents ont été visés. Selon le dernier bilan, l'attaque a fait au moins trois victimes, deux hommes et une femme. Une quinzaine de blessés sont également à déplorer, parmi lesquels un officier de police.
Un des assaillants a été abattu par la police. Lors d'une conférence de presse mardi matin, le ministre autrichien de l'Intérieur a indiqué qu'il s'agirait d'« un sympathisant » du groupe État islamique. Les enquêteurs ont accédé à son logement en forçant la porte avec des explosifs, a-t-il précisé, sans souhaiter donner devantage de détails sur le profil de l'attaquant. Karl Nehammer a également déclaré qu'il était équipé d'un fusil d'assaut et d'une ceinture d'explosifs qui s'est révélée factice. Le ministre a précisé qu'au moins un autre suspect était en fuite.