Selon les premiers contractants, « le patron a changé de comportement depuis les premières signatures de contrat en mars 2019, moment où le trajet est devenu payant.
Le collectif dénonce une société intérimaire aux astuces malsaines de contrats à durée déterminée, d’un an renouvelable ». Selon eux, la société qui a signé leur contrat a changé de nom au bout de deux ans. Mais aussi, elle n’a jamais reversé de sommes retenues pour les cotisations sociales IPRES et pour la Caisse de Sécurité sociale.
Ces travailleurs de l’axe ila Touba, regrette-t-on, ne bénéficient pas non plus de prestations familiales. Ils sont forcés de faire 48 heures de travail hebdomadaire, sans paiement.
Le collectif dénonce une société intérimaire aux astuces malsaines de contrats à durée déterminée, d’un an renouvelable ». Selon eux, la société qui a signé leur contrat a changé de nom au bout de deux ans. Mais aussi, elle n’a jamais reversé de sommes retenues pour les cotisations sociales IPRES et pour la Caisse de Sécurité sociale.
Ces travailleurs de l’axe ila Touba, regrette-t-on, ne bénéficient pas non plus de prestations familiales. Ils sont forcés de faire 48 heures de travail hebdomadaire, sans paiement.