Une assignation à résidence sans aucun fondement juridique, c’est ce à quoi la force publique a contraint les leaders de l’opposition, le vendredi 17 juin 2022. Ces derniers qui avaient décidé de tenir leur rassemblement à la place de la Nation malgré l’interdiction préfectorale ont vu leur liberté de circulation (d’aller et de venir), pourtant consacrée par la Constitution, allègrement violée.
De l’avis du Dr Momar Thiam, expert en communication, la force publique « est allée trop loin ». « À partir du moment où on interdit à Ousmane Sonko, Barthélemy Dias, Déthié Fall, Ameth Aïdara de sortir de chez eux, alors que la Constitution consacre la liberté de circuler, d’aller et de venir, on viole ce texte fondamental.
Et plus grave encore, on interdit à Ousmane Sonko, même si d’un point de vue stratégique il l’a bien joué, d’aller prier, on est en train de violer la liberté de culte », a-t-il dénoncé sur les ondes de Sud Fm.
D’après l’invité de l’émission Objection du dimanche 1er juin, « ce sont des dispositions constitutionnelles qui ont été bafouées. Ce sont les droits les plus élémentaires qui ont été violés. Là , la force publique est allée trop loin ».
De l’avis du Dr Momar Thiam, expert en communication, la force publique « est allée trop loin ». « À partir du moment où on interdit à Ousmane Sonko, Barthélemy Dias, Déthié Fall, Ameth Aïdara de sortir de chez eux, alors que la Constitution consacre la liberté de circuler, d’aller et de venir, on viole ce texte fondamental.
Et plus grave encore, on interdit à Ousmane Sonko, même si d’un point de vue stratégique il l’a bien joué, d’aller prier, on est en train de violer la liberté de culte », a-t-il dénoncé sur les ondes de Sud Fm.
D’après l’invité de l’émission Objection du dimanche 1er juin, « ce sont des dispositions constitutionnelles qui ont été bafouées. Ce sont les droits les plus élémentaires qui ont été violés. Là , la force publique est allée trop loin ».