Le maître des poursuites, nous dit-on, a fait son réquisitoire définitif dans lequel il demande que l’inculpé soit renvoyé devant une chambre criminelle pour assassinat. Maintenant, la balle est dans le camp du juge Yakham Lèye qui doit prendre une ordonnance de renvoi.
Toujours est-il que lorsqu’il a été entendu au fond, en avril dernier, Ousseynou Diop a maintenu ses aveux faits à l’enquête préliminaire. Devant les enquêteurs, il avait reconnu les faits. Toutefois, il a plaidé l’excuse de provocation, en soutenant avoir agi sous la colère, car la victime l’a insulté de mère.
Les faits reprochés à l’inculpé sont survenus dans la nuit du jeudi 27 octobre 2016 au niveau d’une station précitée. Ousseynou Diop et Ibrahima Samb voulaient, chacun, être servi en premier par le pompiste.
Malheureusement, les nerfs ont chauffé et il y a eu des échanges de propos. Le commerçant s’est senti offensé et a sorti son arme en menaçant de tirer sur le taximan. Malgré ses deux coups de sommation, un dans l’air et un autre sur l’un des pneus du taxi, Ibrahima Samb croyait que l’homme ne tirerait pas sur lui. Hélas ! Ousseynou Diop est passé à l’acte et lui a ôté la vie sur le coup. Si l’instruction suit le réquisitoire définitif du parquet, le vendeur de véhicules de luxe sera jugé devant une chambre criminelle.
Enquête
Toujours est-il que lorsqu’il a été entendu au fond, en avril dernier, Ousseynou Diop a maintenu ses aveux faits à l’enquête préliminaire. Devant les enquêteurs, il avait reconnu les faits. Toutefois, il a plaidé l’excuse de provocation, en soutenant avoir agi sous la colère, car la victime l’a insulté de mère.
Les faits reprochés à l’inculpé sont survenus dans la nuit du jeudi 27 octobre 2016 au niveau d’une station précitée. Ousseynou Diop et Ibrahima Samb voulaient, chacun, être servi en premier par le pompiste.
Malheureusement, les nerfs ont chauffé et il y a eu des échanges de propos. Le commerçant s’est senti offensé et a sorti son arme en menaçant de tirer sur le taximan. Malgré ses deux coups de sommation, un dans l’air et un autre sur l’un des pneus du taxi, Ibrahima Samb croyait que l’homme ne tirerait pas sur lui. Hélas ! Ousseynou Diop est passé à l’acte et lui a ôté la vie sur le coup. Si l’instruction suit le réquisitoire définitif du parquet, le vendeur de véhicules de luxe sera jugé devant une chambre criminelle.
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