Ce dernier précise également que l’activiste (comme il se présente) est détenu dans un centre pour immigrants illégaux. Ce qui veut dire qu’il lui est reproché d'autres faits liés à son séjour au pays de l’Oncle Sam que l’apologie au terrorisme. Une thèse confirmée par Dame Babou, ancien correspondant de la radio Sud Fm. « Assane Diouf, je l’ai regardé deux (lors de ses lives Ndlr), il disait : «j’attends mes papiers ».
Cela veut dire qu’il est en situation irrégulière. Et si l’on fait fie à ce que Baba Aïdara a dit, il a fini sa procédure d’appel contre son expulsion. Quand on est dans les mains des services de l’immigration, ce n’est pas pour les questions de terrorisme, mais plutôt pour séjours irrégulières », insiste l’ancien candidat à la députation pour le département Amérique Océanie.
Assane Diouf a été interpellé par la police américaine vendredi, dans son domicile sis à la Nouvelle Orléans, suite à une dénonciation des autorités sénégalaises.
« Sept (7) voitures, 20 personnes venues de Washington avaient encerclé ma maison à la Nouvelle Orléans avant de l’arrêter. Je les ai vus depuis ma fenêtre. Quand ils ont ouvert la porte, je fumais un joint de Boon (yamba ou chanvre indien). Ils m’ont dit qu’ils ne sont pas venus pour ça. Tout ça c’est l’œuvre du gouvernement sénégalais parce que je les insulte jour et nuit. Mais ils ne vont pas me faire taire », a-t-il expliqué depuis la prison par téléphone en live facebook à Françoise Gaye Ditwiller.
Cela veut dire qu’il est en situation irrégulière. Et si l’on fait fie à ce que Baba Aïdara a dit, il a fini sa procédure d’appel contre son expulsion. Quand on est dans les mains des services de l’immigration, ce n’est pas pour les questions de terrorisme, mais plutôt pour séjours irrégulières », insiste l’ancien candidat à la députation pour le département Amérique Océanie.
Assane Diouf a été interpellé par la police américaine vendredi, dans son domicile sis à la Nouvelle Orléans, suite à une dénonciation des autorités sénégalaises.
« Sept (7) voitures, 20 personnes venues de Washington avaient encerclé ma maison à la Nouvelle Orléans avant de l’arrêter. Je les ai vus depuis ma fenêtre. Quand ils ont ouvert la porte, je fumais un joint de Boon (yamba ou chanvre indien). Ils m’ont dit qu’ils ne sont pas venus pour ça. Tout ça c’est l’œuvre du gouvernement sénégalais parce que je les insulte jour et nuit. Mais ils ne vont pas me faire taire », a-t-il expliqué depuis la prison par téléphone en live facebook à Françoise Gaye Ditwiller.