Le jour des faits, celle-ci a sollicité du pompiste un échange de billets s’élevant à 800 Dollars et 240 Euros. Alors qu'il s'apprêtait à le faire, le pompiste s'est souvenu du visage de A. Fall. Cette dernière lui avait remis des liasses qui se sont, par la suite, révélées être fausses.
Alertée, la police de Dieuppeul s’est rendue sur place et a arrêté la mise en cause. Cuisinée par les enquêteurs, la mise en cause a confié que l’argent lui a été remis par un commerçant, P. Diawara.
D’après "L’Observateur", les investigations ont révélé un réseau de faussaires établis en Gambie, dirigé par le sieur Diawara. A. Fall ajoutera qu'elle percevait une commission de 300 000 FCfa. Pour justifier ses actes, elle a affirmé souffrir d’une maladie qui nécessite des traitements qu’elle payait avec cet argent.
Déférée au parquet en même temps que le commerçant Diawara, l'étudiante A. Fall a finalement recouvré provisoirement la liberté, du fait de sa pathologie incompatible avec les rigueurs de la détention.
Alertée, la police de Dieuppeul s’est rendue sur place et a arrêté la mise en cause. Cuisinée par les enquêteurs, la mise en cause a confié que l’argent lui a été remis par un commerçant, P. Diawara.
D’après "L’Observateur", les investigations ont révélé un réseau de faussaires établis en Gambie, dirigé par le sieur Diawara. A. Fall ajoutera qu'elle percevait une commission de 300 000 FCfa. Pour justifier ses actes, elle a affirmé souffrir d’une maladie qui nécessite des traitements qu’elle payait avec cet argent.
Déférée au parquet en même temps que le commerçant Diawara, l'étudiante A. Fall a finalement recouvré provisoirement la liberté, du fait de sa pathologie incompatible avec les rigueurs de la détention.