Depuis l’arrêt de la délivrance des licences de taxis, la société Seniran a perdu plus d’un milliard de F Cfa. C’est ce qu’a révélé le chargé de communication de Seniran, Amadou Seyni Loum, à l’occasion d’une conférence de presse, suite à une visite d’une délégation burkinabé dans les installations de ladite société.
Selon M. Loum, quelque chose se trame derrière cette affaire. Car il ne comprend pas le fait que des groupes comme Tata et Seniran installés à Dakar en même temps, ne puissent pas disposer d’une licence.
Le chargé de la communication de Seniran y voit une ségrégation qui ne dit pas son nom. A l’en croire, Seniran a fait toutes les démarches pour avoir une licence, mais en vain. Selon lui, Seniran auto est une grande société qui n’accueille que des Sénégalais. Et de préciser : « on est au nombre de 100 employés et 2000 chauffeurs qui travaillent indirectement ».
Pour Amadou Loum, l’Etat ne se soucie pas des conséquences économiques que l’arrêt du licenciement a provoquées. Abondant dans le même sillage, le directeur général de Seniran a rappelé qu’à leur arrivée, l’Etat avait dit que Seniran auto et Tata vont permettre le développement de l’automobile sénégalaise.
Toutefois, selon lui, ce rêve n’est plus permis du fait qu’ils sont en train d’être persécutés par l’état, du fait de l'arrêt observé pour disposer des immatriculations.
Tribune
Selon M. Loum, quelque chose se trame derrière cette affaire. Car il ne comprend pas le fait que des groupes comme Tata et Seniran installés à Dakar en même temps, ne puissent pas disposer d’une licence.
Le chargé de la communication de Seniran y voit une ségrégation qui ne dit pas son nom. A l’en croire, Seniran a fait toutes les démarches pour avoir une licence, mais en vain. Selon lui, Seniran auto est une grande société qui n’accueille que des Sénégalais. Et de préciser : « on est au nombre de 100 employés et 2000 chauffeurs qui travaillent indirectement ».
Pour Amadou Loum, l’Etat ne se soucie pas des conséquences économiques que l’arrêt du licenciement a provoquées. Abondant dans le même sillage, le directeur général de Seniran a rappelé qu’à leur arrivée, l’Etat avait dit que Seniran auto et Tata vont permettre le développement de l’automobile sénégalaise.
Toutefois, selon lui, ce rêve n’est plus permis du fait qu’ils sont en train d’être persécutés par l’état, du fait de l'arrêt observé pour disposer des immatriculations.
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