Rebondissement dans le contentieux qui oppose les promoteurs de la Sci Galoya et les opérateurs économiques en l’occurrence Amadou Ly dit Amada et imam Oumar Diène (prévenus), dans cette affaire de la construction de cantines à la Grande mosquée de Dakar. Un contentieux judiciaire qui dure depuis plus de dix ans et a été remporté à toutes les instances de la procédure par les promoteurs du projet, Amadou Makhfous Ly et ses associés.
Pour rappel, le jugement définitif avait confirmé la condamnation des prévenus au paiement de dommages et intérêts fixés à près de 400 millions Fcfa. Laquelle décision était assortie de la contrainte par corps au maximum après la condamnation des mis en cause Amadou Ly dit Amada et l’imam Oumar Diène à un an avec sursis pour les délits d’escroquerie et de faux usage de faux.
Ainsi, les plaignants munis de cette décision n’ont pas tardé à exécuter ladite sentence pour le recouvrement de leur préjudice après un procès marathon de plus de dix ans et plein de rebondissements invraisemblables comme lorsque le juge d’appel avait ordonné la main levée sur séquestre au profit des prévenus.
Cette fois-ci, la contrainte par corps exécutée à été à l’origine de l’arrestation du principal mis en cause et non moins opérateur économique, Amadou Ly dit Amada en novembre 2016 par les éléments de la Division des investigations criminelles (Dic).
Par contre, son compagnon d’infortune, Imam Oumar Diène, sans doute mis au parfum de cette procédure, s’est tout simplement fait la malle. Et les limiers de la Dic qui se sont transportés à son domicile, ont été informés qu’il était en voyage. Depuis cette date, les enquêteurs et les plaignants ont remué ciel et terre pour découvrir la cachette du sieur Diène, mais en vain. Cependant, comme dit l’adage, seules les montagnes ne se croisent pas.
Ainsi, lassé de se terrer dans sa cachette comme un rat d’égout, il a commencé par s’afficher, la nuit, dans certaines manifestations. Mais sans grand succès pour les plaignants. Cependant, à force de filatures, le fugitif a été aperçu la semaine dernière aux Maristes, chez l’une de ses épouses.
Le début de la fin pour Imam Diène qui sera désormais surveillé comme du lait sur le feu par les informateurs dépêchés à ses trousses par les plaignants. Hier encore, il est revenu à la charge avant de quitter sa douce moitié à bord de son véhicule.
Il venait ainsi, sans le savoir, de mordre à l’hameçon. De leurs côtés, les plaignants avaient fini d’informer les éléments de la Dic. Et, c’est au niveau du Relais sur la route de Ouakam, entre 18 heures et 19 heures, qu’il a été interpellé.
Fin de cavale.
Avec cette contrainte par corps, Imam Oumar Diène va, aujourd’hui, rejoindre son «ami» Amada en prison. Un séjour carcéral qui risque d’être long à moins que le duo ne s’acquitte des dommages et intérêts dus aux plaignants, 400 millions Fcfa.
Pour rappel, dans cette affaire, l’imam de la Grande Mosquée, Alioune Samb s’était invité dans le débat pour condamner l’attitude des faussaires en l’occurrence Amadou Ly et Imam Oumar Diène.
Il avait rappelé que le contrat a été signé entre la grande mosquée et la Sci Galoya promotrice du projet des cantines du centre commercial. Avant de se désoler de constater que le projet ait été détourné à la mort de l’imam Maodo Sylla par les mis en cause, qui ne sont personne d’autres que Amadou Ly dit Amada, imam Oumar Diène et feu Oumar Guèye, ancien directeur de l’Institut islamique de la Grande mosquée.
Source: L'As
Pour rappel, le jugement définitif avait confirmé la condamnation des prévenus au paiement de dommages et intérêts fixés à près de 400 millions Fcfa. Laquelle décision était assortie de la contrainte par corps au maximum après la condamnation des mis en cause Amadou Ly dit Amada et l’imam Oumar Diène à un an avec sursis pour les délits d’escroquerie et de faux usage de faux.
Ainsi, les plaignants munis de cette décision n’ont pas tardé à exécuter ladite sentence pour le recouvrement de leur préjudice après un procès marathon de plus de dix ans et plein de rebondissements invraisemblables comme lorsque le juge d’appel avait ordonné la main levée sur séquestre au profit des prévenus.
Cette fois-ci, la contrainte par corps exécutée à été à l’origine de l’arrestation du principal mis en cause et non moins opérateur économique, Amadou Ly dit Amada en novembre 2016 par les éléments de la Division des investigations criminelles (Dic).
Par contre, son compagnon d’infortune, Imam Oumar Diène, sans doute mis au parfum de cette procédure, s’est tout simplement fait la malle. Et les limiers de la Dic qui se sont transportés à son domicile, ont été informés qu’il était en voyage. Depuis cette date, les enquêteurs et les plaignants ont remué ciel et terre pour découvrir la cachette du sieur Diène, mais en vain. Cependant, comme dit l’adage, seules les montagnes ne se croisent pas.
Ainsi, lassé de se terrer dans sa cachette comme un rat d’égout, il a commencé par s’afficher, la nuit, dans certaines manifestations. Mais sans grand succès pour les plaignants. Cependant, à force de filatures, le fugitif a été aperçu la semaine dernière aux Maristes, chez l’une de ses épouses.
Le début de la fin pour Imam Diène qui sera désormais surveillé comme du lait sur le feu par les informateurs dépêchés à ses trousses par les plaignants. Hier encore, il est revenu à la charge avant de quitter sa douce moitié à bord de son véhicule.
Il venait ainsi, sans le savoir, de mordre à l’hameçon. De leurs côtés, les plaignants avaient fini d’informer les éléments de la Dic. Et, c’est au niveau du Relais sur la route de Ouakam, entre 18 heures et 19 heures, qu’il a été interpellé.
Fin de cavale.
Avec cette contrainte par corps, Imam Oumar Diène va, aujourd’hui, rejoindre son «ami» Amada en prison. Un séjour carcéral qui risque d’être long à moins que le duo ne s’acquitte des dommages et intérêts dus aux plaignants, 400 millions Fcfa.
Pour rappel, dans cette affaire, l’imam de la Grande Mosquée, Alioune Samb s’était invité dans le débat pour condamner l’attitude des faussaires en l’occurrence Amadou Ly et Imam Oumar Diène.
Il avait rappelé que le contrat a été signé entre la grande mosquée et la Sci Galoya promotrice du projet des cantines du centre commercial. Avant de se désoler de constater que le projet ait été détourné à la mort de l’imam Maodo Sylla par les mis en cause, qui ne sont personne d’autres que Amadou Ly dit Amada, imam Oumar Diène et feu Oumar Guèye, ancien directeur de l’Institut islamique de la Grande mosquée.
Source: L'As