La banlieue dakaroise est un haut lieu du commerce, avec la prolifération de nombreux marchés dans lesquels on trouve d’innombrables ateliers de tailleurs, entre autres échoppes d’artisans. Egalement, de multiples boutiques y proposent des tissus de valeur que les tailleurs installés sur les mêmes lieux, transforment en magnifiques habits. C’est la raison pour laquelle, des étrangers venus du Nigéria, de la Côte d’ivoire, du Mali, etc., affluent dans ces marchés pour se faire confectionner des habits afin de repartir dans leurs pays d’origine pour les revendre. Massar, un tailleur réputé être parmi les meilleurs couturiers, a sa propre clientèle, majoritairement étrangère, relate "Le Témoin".
Hélas, à cause de sa cupidité et de son manque de sérieux, il est fort à craindre qu’il ait à jamais à terni sa réputation. Surtout, avec le coup qu’il vient de faire à une amie d’une de ses clientes maliennes, du nom de Fanta Cissokho, dont il a empoché les 500 000 FCfa et réceptionné des tissus de valeur, avant de se fondre dans la nature.
La victime est d’autant plus malheureuse que Massar est son tailleur attitré depuis plus de six ans. « A chaque fois que je viens au Sénégal, il coud de belles tenues pour moi que j’expose dans ma boutique au Mali. Ce qui a donné des idées à une de mes meilleures amies que j’ai présentée au tailleur », raconte Mme Cissokho.
Son amie du nom de Aminata, a ainsi remis une avance de 500 000 FCfa au tailleur, en plus d’un lot de tissus pour la confection de tenues estimées à 900.000 FCfa. Mais depuis la remise de l’argent, le tailleur peine à honorer son contrat, en plus de rester injoignable. Et quand la cliente se présente à l’atelier, impossible d’y trouver le tailleur qui ne donne plus signe de vie. Après d’intenses recherches, elle a retrouvé le tailleur escroc et l’a traîné devant le commissariat des Parcelles Assainies. Face aux policiers, le mis en cause a nié les faits qui lui sont reprochés.
D’après lui, il souffrait de douleurs atroces à la jambe droite et était atteint de ‘’ndokhoum siti ‘’ au niveau des mains. Ce qui l’aurait éloigné de son atelier. Quant à son refus de prendre les appels de la dame, il a prétendu que son téléphone ne fonctionnait pas. Selon lui, c’est ce qui a fait penser à sa cliente qu’il avait fui avec l’argent et le lot de tissus. Il a ainsi demandé un délai pour pouvoir rembourser sa cliente. N’ayant pas convaincu les enquêteurs, il a été arrêté et déféré au parquet.
Hélas, à cause de sa cupidité et de son manque de sérieux, il est fort à craindre qu’il ait à jamais à terni sa réputation. Surtout, avec le coup qu’il vient de faire à une amie d’une de ses clientes maliennes, du nom de Fanta Cissokho, dont il a empoché les 500 000 FCfa et réceptionné des tissus de valeur, avant de se fondre dans la nature.
La victime est d’autant plus malheureuse que Massar est son tailleur attitré depuis plus de six ans. « A chaque fois que je viens au Sénégal, il coud de belles tenues pour moi que j’expose dans ma boutique au Mali. Ce qui a donné des idées à une de mes meilleures amies que j’ai présentée au tailleur », raconte Mme Cissokho.
Son amie du nom de Aminata, a ainsi remis une avance de 500 000 FCfa au tailleur, en plus d’un lot de tissus pour la confection de tenues estimées à 900.000 FCfa. Mais depuis la remise de l’argent, le tailleur peine à honorer son contrat, en plus de rester injoignable. Et quand la cliente se présente à l’atelier, impossible d’y trouver le tailleur qui ne donne plus signe de vie. Après d’intenses recherches, elle a retrouvé le tailleur escroc et l’a traîné devant le commissariat des Parcelles Assainies. Face aux policiers, le mis en cause a nié les faits qui lui sont reprochés.
D’après lui, il souffrait de douleurs atroces à la jambe droite et était atteint de ‘’ndokhoum siti ‘’ au niveau des mains. Ce qui l’aurait éloigné de son atelier. Quant à son refus de prendre les appels de la dame, il a prétendu que son téléphone ne fonctionnait pas. Selon lui, c’est ce qui a fait penser à sa cliente qu’il avait fui avec l’argent et le lot de tissus. Il a ainsi demandé un délai pour pouvoir rembourser sa cliente. N’ayant pas convaincu les enquêteurs, il a été arrêté et déféré au parquet.