Le président turc, Recep Tayyip Erdoğan continue de faire la pluie et le beau temps, dans les pays africains qui abritent les écoles du réseau Gulën, son ennemi juré. Outre la Guinée, le Niger, le Sénégal entre autres pays, le Mali qui lui obéit du doigt à l’œil, a aussi décidé de retirer la licence d’exercer à l’Association dénommé Baskent Egitim et transféré la gestion du Collège Horizon à Maarif, une fondation turque créée par l'actuel régime.
Les quelque 3200 élèves de 5 écoles sont priés d’aller voir ailleurs. Car, comme au Sénégal, les autorités maliennes ont expulsé le personnel et fermé les établissements, désormais gardés par les militaires armés jusqu’aux dents.
Interpellé à deux reprises par les députés sur la question, le ministre de l'Education estime que la procédure de fermeture de Collège Horizon est légale et qu'il y aura des mesures d'accompagnement. Mais les responsables de Collège Horizon qui ne semblent pas l’entendre de cette oreille, ont décidé d’attaquer la décision en justice.
Pour eux, cette décision de fermeture fait suite au coup d'état manqué en Turquie. Fethullah Gulen est accusé par le régime d'être derrière la tentative. Les responsables de Collèges Horizons souhaiteraient que les autorités dissocient la politique de l'éducation.
Les quelque 3200 élèves de 5 écoles sont priés d’aller voir ailleurs. Car, comme au Sénégal, les autorités maliennes ont expulsé le personnel et fermé les établissements, désormais gardés par les militaires armés jusqu’aux dents.
Interpellé à deux reprises par les députés sur la question, le ministre de l'Education estime que la procédure de fermeture de Collège Horizon est légale et qu'il y aura des mesures d'accompagnement. Mais les responsables de Collège Horizon qui ne semblent pas l’entendre de cette oreille, ont décidé d’attaquer la décision en justice.
Pour eux, cette décision de fermeture fait suite au coup d'état manqué en Turquie. Fethullah Gulen est accusé par le régime d'être derrière la tentative. Les responsables de Collèges Horizons souhaiteraient que les autorités dissocient la politique de l'éducation.