Annulation de la mise en examen d'un des deux policiers de la brigade canine impliqué dans la mort de Wissam El Yamni à Clermont-Ferrand
Le 1er janvier 2012, 2 policiers menottent Wissam et ne le quittent plus des yeux. 10 min plus tard, alors qu'aucuns de ces policiers n'a la moindre égratignure, il tombe dans le coma.
Avant même les résultats de l'autopsie, la police des polices s'empresse de dédouaner les policiers impliqués directement dans la mise à mort. Faire des conclusions avant même les éléments de l'enquête ne choque pas puisque les éléments de l'enquête seront ensuite cherchés, controlés, validés par ces mêmes personnes qui ont pris dès le départ parti. Ce n'est que le début du festival de l'hypocrisie.
Après une série de mensonges d'experts les plus indécents les uns des autres, le procureur général de Riom annonce en janvier 2013 devant la presse qu'un collège d'experts va donner au maximum dans les cinq mois suivants les raisons pour lesquelles Wissam est mort.
Le Parquet aurait-il retrouver la raison ?
Que nenni ! 1 an après cet énième mensonge, soit 3 ans après les faits, nous sommes toujours dans l'attente de la vérité, juste de la vérité. Parallèlement, nous apprenons le 20 janvier 2015 que la mafia policiaro-judiciaire annule la mise en examen d'un des policiers, plus intéressée par une mise hors de cause sans condition que par la vérité.
Le festival de l'hypocrisie continue, le combat aussi.
Le 1er janvier 2012, 2 policiers menottent Wissam et ne le quittent plus des yeux. 10 min plus tard, alors qu'aucuns de ces policiers n'a la moindre égratignure, il tombe dans le coma.
Avant même les résultats de l'autopsie, la police des polices s'empresse de dédouaner les policiers impliqués directement dans la mise à mort. Faire des conclusions avant même les éléments de l'enquête ne choque pas puisque les éléments de l'enquête seront ensuite cherchés, controlés, validés par ces mêmes personnes qui ont pris dès le départ parti. Ce n'est que le début du festival de l'hypocrisie.
Après une série de mensonges d'experts les plus indécents les uns des autres, le procureur général de Riom annonce en janvier 2013 devant la presse qu'un collège d'experts va donner au maximum dans les cinq mois suivants les raisons pour lesquelles Wissam est mort.
Le Parquet aurait-il retrouver la raison ?
Que nenni ! 1 an après cet énième mensonge, soit 3 ans après les faits, nous sommes toujours dans l'attente de la vérité, juste de la vérité. Parallèlement, nous apprenons le 20 janvier 2015 que la mafia policiaro-judiciaire annule la mise en examen d'un des policiers, plus intéressée par une mise hors de cause sans condition que par la vérité.
Le festival de l'hypocrisie continue, le combat aussi.