Nommé à la tête de la sélection anglaise en juillet dernier, Sam Allardyce (61 ans) sera-t-il l’homme d’un match sur le banc des Three Lions ? Rien n’est moins sûr après les révélations d’une enquête du Telegraph publiées ce lundi. Le titre s’étire en « une » du site internet du journal anglais, « Sam Allardyce à vendre ». Le résultat d’une investigation du journal d’un peu moins d’un an consacrée à la corruption dans le football anglais. Récit du piège qui s’est refermé sur le sélectionneur anglais.
Une prestation à hauteur de 460 000 euros
Fraichement nommé à la tête de la sélection, Sam Allardyce n’a pas encore dirigé un entrainement d’une équipe traumatisée par son élimination en huitièmes de finale de l’Euro face à l’Islande (2-1). Il rencontre des représentants d’une firme asiatique, qui souhaite s’introduire sur le florissant marché des transferts britannique. Ces « représentants » sont en réalité des journalistes du Telegraph. Fort de sa position de sélectionneur, Allardyce s’engage alors à monnayer ses conseils. Une prestation à hauteur de 460 000 euros. Il est même prêt à se déplacer à Singapour et à Hong Kong.
Mais l’affaire va plus loin. A l’issue de deux entretiens, pour une durée totale de quatre heures, Allardyce se dit prêt à dévoiler aux Businessmen comment contourner les règles de la fédération anglaise en matière de transfert, mettant en avant ses liens avec certains agents « qui le font tout le temps ». Il qualifiera même certaines règles de « ridicules ». Une plongée en eaux troubles dont les conséquences sont pour l’instant difficiles à évaluer. Même si sa présence sur le banc face à Malte le 8 octobre prochain semble désormais fortement compromise.
SOURCE RMC
Une prestation à hauteur de 460 000 euros
Fraichement nommé à la tête de la sélection, Sam Allardyce n’a pas encore dirigé un entrainement d’une équipe traumatisée par son élimination en huitièmes de finale de l’Euro face à l’Islande (2-1). Il rencontre des représentants d’une firme asiatique, qui souhaite s’introduire sur le florissant marché des transferts britannique. Ces « représentants » sont en réalité des journalistes du Telegraph. Fort de sa position de sélectionneur, Allardyce s’engage alors à monnayer ses conseils. Une prestation à hauteur de 460 000 euros. Il est même prêt à se déplacer à Singapour et à Hong Kong.
Mais l’affaire va plus loin. A l’issue de deux entretiens, pour une durée totale de quatre heures, Allardyce se dit prêt à dévoiler aux Businessmen comment contourner les règles de la fédération anglaise en matière de transfert, mettant en avant ses liens avec certains agents « qui le font tout le temps ». Il qualifiera même certaines règles de « ridicules ». Une plongée en eaux troubles dont les conséquences sont pour l’instant difficiles à évaluer. Même si sa présence sur le banc face à Malte le 8 octobre prochain semble désormais fortement compromise.
SOURCE RMC