Louise Warneford, âgé de 48 ans est originaire de Swindon, une petite ville située à moins de 100 km de Londres. A cet âge, elle a donné naissance à son premier enfant après 18 fausses couches. Le petit William, âgé aujourd’hui de 18 mois, se porte à merveille.
Mark, son époux qu’elle a rencontré en 1999, avait déjà eu un enfant né d’une précédente union. Ensuite, il avait subi une vasectomie, une opération utilisée comme moyen de stérilisation. Louise a donc choisi de recourir à la fécondation in vitro. A plusieurs reprises, le couple a dépensé pas moins de 80.000 livres, mais sans succès.
« Chaque fois que j’ai eu un espoir, que je pensais que c’était bon et que j’allais avoir la famille parfaite que j’avais toujours voulue et bien, je ne pouvais pas m’arrêter de pleurer chaque fois que je me trompais », a-t-elle confié. « C’était un mystère pour moi de comprendre pourquoi mon corps a continué de rejeter mon bébé à seulement quelques semaines, et c’était déchirant à chaque fois », ajoute-t-elle.
Pour tenter un autre coup, le couple s’est rendu dans une unité d’immunologie reproductive dirigée par la docteur Hassan Shehata, gynécologue-obstétricien réputé. C’est après une césarienne planifiée que ce bébé a vu le jour à 37 semaines
Aujourd’hui, Louise Warneford se souvient de ces moments difficiles qui ont duré plus de vingt ans. « C’était la période la plus difficile de ma vie », a-t-elle confié au média The Sun. « Mais ça en valait la peine pour notre bébé ».