« Quand il a été élu président au congrès de l’IAAF en 2001 à Edmonton où j’avais remporté la médaille, le président et moi avions eu des chemins croisés. Pendant longtemps, il nous enseignait des valeurs, du courage. Le président Diack était un innovateur. La vision qu’il avait de l’athlétisme mondiale.
En 2001, c’était la première fois qu’on prenait les championnes du monde avec des primes d’argent. Je me rappelle des voitures que l’on exposait sur la pelouse à Göteborg. Quand il me remettait ma médaille, il me disait que je devrais empocher 68 000 dollars. C’était motivant. J’étais fière de voir le Centre international de Dakar se concrétiser. »
En 2001, c’était la première fois qu’on prenait les championnes du monde avec des primes d’argent. Je me rappelle des voitures que l’on exposait sur la pelouse à Göteborg. Quand il me remettait ma médaille, il me disait que je devrais empocher 68 000 dollars. C’était motivant. J’étais fière de voir le Centre international de Dakar se concrétiser. »