« Il m’a toujours aidé et soutenu à la quête de l’excellence. Il me prenait comme son fils. Il ne faisait que de bonnes choses pour les personnes. Pas uniquement sur le plan sportif. Tout le monde sait que Lamine Diack a créé les Navétanes. Les textes du sport, c’est quand Lamine Diack était ministre des Sports.
La confédération africaine d’athlétisme, c’était Lamine Diack. Un pays, une voix et vous avez vu comment les Africains rayonnent au plan international. Il a dirigé la fédération internationale d’athlétisme durant des années ».
« Tous les pays africains n’avaient pas de pistes et de tartans. Il a tout fait pour qu’ils en aient. A chaque fois qu’il y a un besoin, il était présent. Quand j’allais aux Jeux de Séoul, il avait dit au président Abdou Diouf et devant les caméras, que le Sénégal va revenir avec une médaille. Le président Diack me prenait comme son propre fils et il a hébergé beaucoup de sportifs chez lui. Pas seulement des Sénégalais mais des Africains.
Le centre d’athlétisme que je dirige maintenant, c’est le président Lamine Diack qui l’a implanté à Dakar. Tout comme le siège de la Confédération africaine. Le président du CNOSS Mamadou Diagna Ndiaye bénéficie de ses conseils. C’est dommage que les Jeux olympiques de la Jeunesse (JOJ) vont se dérouler sans lui. Sur le plan humanitaire, il était un exemple de général ».
La confédération africaine d’athlétisme, c’était Lamine Diack. Un pays, une voix et vous avez vu comment les Africains rayonnent au plan international. Il a dirigé la fédération internationale d’athlétisme durant des années ».
« Tous les pays africains n’avaient pas de pistes et de tartans. Il a tout fait pour qu’ils en aient. A chaque fois qu’il y a un besoin, il était présent. Quand j’allais aux Jeux de Séoul, il avait dit au président Abdou Diouf et devant les caméras, que le Sénégal va revenir avec une médaille. Le président Diack me prenait comme son propre fils et il a hébergé beaucoup de sportifs chez lui. Pas seulement des Sénégalais mais des Africains.
Le centre d’athlétisme que je dirige maintenant, c’est le président Lamine Diack qui l’a implanté à Dakar. Tout comme le siège de la Confédération africaine. Le président du CNOSS Mamadou Diagna Ndiaye bénéficie de ses conseils. C’est dommage que les Jeux olympiques de la Jeunesse (JOJ) vont se dérouler sans lui. Sur le plan humanitaire, il était un exemple de général ».