Depuis bientôt deux mois, les syndicats du moyen secondaire sont en mouvement pour réclamer la correction du système de rémunération. Le SAEMS et le CUSEMS ne comptent pas revenir dans leur plan d’actions.
Pis, ils semblent vouloir se radicaliser. Joint au téléphone hier, le chargé de communication du CUSEMS a indiqué que ce mot d’ordre de grève est le plus suivi dans l’histoire du syndicalisme enseignant. Ce qui témoigne une réelle volonté d’aller jusqu’au bout de leur logique. «Dès demain (Ndlr :Aujourd’hui), le prochain mot d’ordre sera corsé. Et rien n’est à écarter », a tonné Monsieur Ba.
A l’origine de leur colère, la découverte de l’augmentation de l’indemnité spéciale de lutte contre l’évasion sociale. «Le ministre Samba Sy, présent lors de notre dernière rencontre avec le gouvernement etlui-même professeur fonctionnaire de la hiérarchieA, s’est permis d’octroyer une indemnité pour combattre l’évasion sociale dont serait victime les travailleurs de l’inspection du travail », informe Amadou Ba.
Qui ajoute dans la foulée que c’est écœurant pour les enseignants qui se rendent compte qu’on a octroyé une indemnité de 400 00 FCFA aux inspecteurs du travail alors que le salaire de l’enseignant de la même hiérarchie n’atteint même pas cette somme. «C’est extraordinaire. Les enseignants sont plus que jamais déterminé cette année à aller jusqu’au bout. Rien n’est à , écarter pour combattre cette injustice », souligne-t-il.
Selon Monsieur Ba, c’est le chef de l’Etat même qui creuse davantage l’injustice dont sont victimes les enseignants. «Sur ce point, je crois que les mots ne sont pas grands pour qualifier le sentiment le mieux partagé chez les enseignants. Le Président Macky Sall déteste les enseignants. Et il l’a toujours démontré à maintes», déclare le chargé de communication du CUSEMS.
Amadou Ba estime ainsi que les syndicats sont catégoriques dans la réclamation de la correction du système de rémunération quitte même à ce qu’on double ou triple leurs salaires. A l’en croire, c’est inadmissible que le gouvernement se permette d’octroyer des indemnités en fonction des corps.
L’As
Pis, ils semblent vouloir se radicaliser. Joint au téléphone hier, le chargé de communication du CUSEMS a indiqué que ce mot d’ordre de grève est le plus suivi dans l’histoire du syndicalisme enseignant. Ce qui témoigne une réelle volonté d’aller jusqu’au bout de leur logique. «Dès demain (Ndlr :Aujourd’hui), le prochain mot d’ordre sera corsé. Et rien n’est à écarter », a tonné Monsieur Ba.
A l’origine de leur colère, la découverte de l’augmentation de l’indemnité spéciale de lutte contre l’évasion sociale. «Le ministre Samba Sy, présent lors de notre dernière rencontre avec le gouvernement etlui-même professeur fonctionnaire de la hiérarchieA, s’est permis d’octroyer une indemnité pour combattre l’évasion sociale dont serait victime les travailleurs de l’inspection du travail », informe Amadou Ba.
Qui ajoute dans la foulée que c’est écœurant pour les enseignants qui se rendent compte qu’on a octroyé une indemnité de 400 00 FCFA aux inspecteurs du travail alors que le salaire de l’enseignant de la même hiérarchie n’atteint même pas cette somme. «C’est extraordinaire. Les enseignants sont plus que jamais déterminé cette année à aller jusqu’au bout. Rien n’est à , écarter pour combattre cette injustice », souligne-t-il.
Selon Monsieur Ba, c’est le chef de l’Etat même qui creuse davantage l’injustice dont sont victimes les enseignants. «Sur ce point, je crois que les mots ne sont pas grands pour qualifier le sentiment le mieux partagé chez les enseignants. Le Président Macky Sall déteste les enseignants. Et il l’a toujours démontré à maintes», déclare le chargé de communication du CUSEMS.
Amadou Ba estime ainsi que les syndicats sont catégoriques dans la réclamation de la correction du système de rémunération quitte même à ce qu’on double ou triple leurs salaires. A l’en croire, c’est inadmissible que le gouvernement se permette d’octroyer des indemnités en fonction des corps.
L’As