La preuve, «la consommation de sel au niveau national est comprise entre 20 et 30 g par jour. Elle dépasse 4 à 5 fois les normes de l’Oms», a-t-on indiqué récemment à Kolda lors de l’atelier de restitution des conclusions du forum national sur les prospectives alimentaires au Sénégal, horizon 2035.
Aussi, «les mauvaises pratiques alimentaires sont persistantes et le potentiel nutritionnel des ressources locales est faiblement valorisé». S’y ajoute que «la restauration de rue connaît un accroissement considérable qui ne se conjugue pas avec une qualité du service et des conditions de sécurité sanitaire des aliments».
Conséquences, les maladies chroniques comme l’hypertension, le diabète, entre autres, continuent de gagner du terrain. Pour inverser cette tendance haussière des maladies métaboliques, le Sénégal s’inscrit dans une dynamique de «promouvoir un modèle d’alimentation saine qui contribue à préserver la santé des populations tant urbaines que rurales».
Ce qui a justifié la tenue de ce forum national suivi d’une série d’ateliers régionaux qui se veulent l’amorce d’une plateforme pérenne de dialogue national sur l’alimentation au Sénégal.
Tribune
Aussi, «les mauvaises pratiques alimentaires sont persistantes et le potentiel nutritionnel des ressources locales est faiblement valorisé». S’y ajoute que «la restauration de rue connaît un accroissement considérable qui ne se conjugue pas avec une qualité du service et des conditions de sécurité sanitaire des aliments».
Conséquences, les maladies chroniques comme l’hypertension, le diabète, entre autres, continuent de gagner du terrain. Pour inverser cette tendance haussière des maladies métaboliques, le Sénégal s’inscrit dans une dynamique de «promouvoir un modèle d’alimentation saine qui contribue à préserver la santé des populations tant urbaines que rurales».
Ce qui a justifié la tenue de ce forum national suivi d’une série d’ateliers régionaux qui se veulent l’amorce d’une plateforme pérenne de dialogue national sur l’alimentation au Sénégal.
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