Alors qu’on n’a pas fini d’épiloguer sur la prostitution de jeunes filles chinoises à Dakar, une autre groupe de jeunes Marocaine se signale dans certains milieux interlopes de la capitale. Des jeunes filles du royaume chérifien «chassées de Dubaï » écument les salles de jeu du Terrou-bi et du Café de Rome, selon une voix autorisée au sein du Conseil National des Marocains du Sénégal ( Cnms). «Elles utilisent la fonction de masseuses pour faire des activités de prostitution. C’est un réseau. Certains se sont mariées à des Libanais ou Syriens, mais ce sont des proxénètes », révèle la source dont les propos sont rapportés par Walfadjiri.
Faisant dans la dénonciation, notre source appelle la Brigade des mœurs de la police sénégalaise à intervenir pour arrêter ces filles et leurs complices proxénètes. « Il faudrait que la brigade des mœurs fasse son travail par des rafles pour mettre fin au racolage entretenu par des Marocaines qui se trouvent dans les salles de jeu et au Casino.
La passe peut varier de 10 mille à 30 000 F Cfa. (…)Toutes ces filles ont été chassées de Dubaï avant de migrer vers Dakar. Parce que pour entrer au Sénégal, il n’y a pas de visas. Si elles veulent s’adonner à ce métier, elles n’ont qu’à se faire recenser et s’inscrire sur le fichier sanitaire » détaille-t-il.
«C’est devenu plus grave parce que même les étudiantes marocaines s’adonnent à la prostitution clandestine. Il y a une étudiante qui a eu une maladie avec le latex (préservatif), elle est restée plusieurs jours à la clinique», renchérit-il.
Faisant dans la dénonciation, notre source appelle la Brigade des mœurs de la police sénégalaise à intervenir pour arrêter ces filles et leurs complices proxénètes. « Il faudrait que la brigade des mœurs fasse son travail par des rafles pour mettre fin au racolage entretenu par des Marocaines qui se trouvent dans les salles de jeu et au Casino.
La passe peut varier de 10 mille à 30 000 F Cfa. (…)Toutes ces filles ont été chassées de Dubaï avant de migrer vers Dakar. Parce que pour entrer au Sénégal, il n’y a pas de visas. Si elles veulent s’adonner à ce métier, elles n’ont qu’à se faire recenser et s’inscrire sur le fichier sanitaire » détaille-t-il.
«C’est devenu plus grave parce que même les étudiantes marocaines s’adonnent à la prostitution clandestine. Il y a une étudiante qui a eu une maladie avec le latex (préservatif), elle est restée plusieurs jours à la clinique», renchérit-il.