L’histoire d’Aissata et de son amoureux virtuel, véritable escroc commence, il y a de cela dix jours sur un site de rencontres. « Je me suis laissée contacter par un message d’un gars qui me manifestait tendresse et une envie d’avoir des relations sérieuses. Ce dernier, m’a confié son numéro de téléphone, son Skype et mail. Il se fait appeler Maurice, habitant à Paris. Nous avions échangé des photos et, je me suis laissée bercer par ses propos doux et attentionnés », a raconté une jeune nymphe sénégalaise, Aissata Ndiaye, accrochée par Leral sur la route des Almadies.
Aissata, agent commercial dans une société de téléphonie mobile, très charmante dans son accoutrement très « class », prévient que les escrocs essayent toujours d’avoir et même de fournir beaucoup d’informations nécessaires, avant de dérouler la seconde phase de leurs stratégies.
« Maurice qui se dit travailleur dans une structure de santé, a posé beaucoup de question sur ma vie privée. Et, il a dit qu’il a perdu sa femme. Un jour, il me demande de lui envoyer 60 000 Fcfa pour régler une urgence. J’ai refusé. Mais les échanges continuent et je devenais de plus en plus amoureuse de lui », affirme-t-elle, sourire aux lèvres.
Très tenace, l’amoureux virtuel, Maurice pour la séduire davantage, lui envoie une photo de sa carte d’identité. Histoire de gagner sa confiance. Heureusement pour Aissata qui a très tôt décryptéle jeu de son amant virtuel, un vrai trompeur. « Voyant qu’il allait me nuire, je lui ai envoyé à travers internet, un autre numéro de téléphone, un faux Sms. Je lui ai fait croire une tentative de suicide, motivé par un chagrin. Et, il a arrêté de me contacter », se résigne-t-elle.
N’empêche, l’agent commercial constate que ces escrocs, capables de faire rêver une vie de merveille, ont plusieurs cordes à leur arc. Et tous les moyens sont bons pour atteindre l’objectif fixé. Elle exhorte ses sœurs qui prennent pour argent comptant toutes les propositions, à faire davantage preuve de méfiance et de prudence.
O WADE Leral
Aissata, agent commercial dans une société de téléphonie mobile, très charmante dans son accoutrement très « class », prévient que les escrocs essayent toujours d’avoir et même de fournir beaucoup d’informations nécessaires, avant de dérouler la seconde phase de leurs stratégies.
« Maurice qui se dit travailleur dans une structure de santé, a posé beaucoup de question sur ma vie privée. Et, il a dit qu’il a perdu sa femme. Un jour, il me demande de lui envoyer 60 000 Fcfa pour régler une urgence. J’ai refusé. Mais les échanges continuent et je devenais de plus en plus amoureuse de lui », affirme-t-elle, sourire aux lèvres.
Très tenace, l’amoureux virtuel, Maurice pour la séduire davantage, lui envoie une photo de sa carte d’identité. Histoire de gagner sa confiance. Heureusement pour Aissata qui a très tôt décryptéle jeu de son amant virtuel, un vrai trompeur. « Voyant qu’il allait me nuire, je lui ai envoyé à travers internet, un autre numéro de téléphone, un faux Sms. Je lui ai fait croire une tentative de suicide, motivé par un chagrin. Et, il a arrêté de me contacter », se résigne-t-elle.
N’empêche, l’agent commercial constate que ces escrocs, capables de faire rêver une vie de merveille, ont plusieurs cordes à leur arc. Et tous les moyens sont bons pour atteindre l’objectif fixé. Elle exhorte ses sœurs qui prennent pour argent comptant toutes les propositions, à faire davantage preuve de méfiance et de prudence.
O WADE Leral