Les membres de l’Association des délégués de quartier de Dakar ne veulent pas être à nouveau pris au dépourvu. Suite à « l’agression sauvage et barbare » dont a été victime Moundor Sarr, leur collègue de Sant Yalla au quartier de Keur Mbaye Fall, ils demandent l’autorisation de port d’arme, informe EnQuête.
Ils cherchent à travers cet acte à se mettre à « l’abri d’éventuelles représailles ». « L’arme sera gardée à la maison, parce que nous savons que le monopole de la violence légale appartient à l’Etat. D’ailleurs, avant de donner l’autorisation, il faut faire une enquête de moralité et d’intégrité, etc. », a indiqué El Hadji Samba Fall.
Poursuivant son propos, il laisse entendre que les « les politiciens, à qui ont a délivré des autorisations de port d’armes ne sont pas plus méritants qu’eux. Le président de l’Association des délégués de quartier de Dakar pense que si Moundor Sarr était armé, il aurait pu « dissuader à l’aide d’un coup de sommation » les agresseurs qui l’ont attaqué en lui reprochant d’avoir dénoncé un des leurs.
Ils cherchent à travers cet acte à se mettre à « l’abri d’éventuelles représailles ». « L’arme sera gardée à la maison, parce que nous savons que le monopole de la violence légale appartient à l’Etat. D’ailleurs, avant de donner l’autorisation, il faut faire une enquête de moralité et d’intégrité, etc. », a indiqué El Hadji Samba Fall.
Poursuivant son propos, il laisse entendre que les « les politiciens, à qui ont a délivré des autorisations de port d’armes ne sont pas plus méritants qu’eux. Le président de l’Association des délégués de quartier de Dakar pense que si Moundor Sarr était armé, il aurait pu « dissuader à l’aide d’un coup de sommation » les agresseurs qui l’ont attaqué en lui reprochant d’avoir dénoncé un des leurs.