Dans sa plainte qu’elle a déposée au commissariat de la Médina, elle indique que c’est à hauteur de Fass qu’elle a rencontré la foule qui revenait du stade Iba Mar Diop. C’est dans ces circonstances, dit-elle, que l’un d’eux l’a tenue en respect avec un couteau. Mais alors qu’elle faisait dans la résistance, un des acolytes de ce dernier s’est dégagé de la foule, avec l’insulte de la bouche, pour inciter son compagnon à la poignarder. "Su la joxul, nga jam niou dem ( si elle n’obtempère pas, poignarde-là et qu’on se casse d’ici)", lui avait dit S. Sow qui a été formellement identifié par l’étudiante.
De peur que ces derniers ne mettent leurs menaces à exécution, elle les a laissés arracher son sac qui contenant de l’argent ainsi que ses deux téléphones. Le butin en main, les agresseurs se sont fondus dans la nature.
Seulement, ils ignoraient que des jeunes du quartier qui n’avaient rien raté de la scène, s’étaient lancés à leurs trousses, à bord de scooters.
Traumatisée par la scène qu’elle venait de vivre, l’étudiante a vite pris ses jambes à son cou pour regagner son domicile. Et alors qu’elle racontait sa mésaventure à sa mère, cette dernière lui a signalé avoir eu vent que les jeunes du quartier avaient interpellé un des agresseurs.
Par chance, ce sera celui qui, une demi-heure auparavant, incitait son acolyte à la poignarder, si elle faisait dans la résistance. Mais, malgré la flagrance des faits, ce dernier a fait des dénégations systématiques devant les enquêteurs.
Domicilié à Grand Yoff, S. Sow a soutenu qu’il s’était rendu au stade pour suivre un combat de lutte. Mais après la défaite de son lutteur, il s’était empressé pour aller rejoindre le quartier général du lutteur à Grand-Yoff, pour compatir avec lui. C’est donc en chemin, dit-il, qu’il a été heurté par un scooter qui l’a projeté au sol.
Et c’est au moment de se lever que les deux jeunes à bord de la moto, l’ont interpellé en l’accusant de faire partie d’un groupe d’agresseurs. « Je ne suis ni de près ni de loin impliqué à cette affaire », a-t-il déclaré. Une version qui n’a pas convaincu les enquêteurs du commissariat de la Médina, qui l’ont déféré au parquet.
voxpopuli
De peur que ces derniers ne mettent leurs menaces à exécution, elle les a laissés arracher son sac qui contenant de l’argent ainsi que ses deux téléphones. Le butin en main, les agresseurs se sont fondus dans la nature.
Seulement, ils ignoraient que des jeunes du quartier qui n’avaient rien raté de la scène, s’étaient lancés à leurs trousses, à bord de scooters.
Traumatisée par la scène qu’elle venait de vivre, l’étudiante a vite pris ses jambes à son cou pour regagner son domicile. Et alors qu’elle racontait sa mésaventure à sa mère, cette dernière lui a signalé avoir eu vent que les jeunes du quartier avaient interpellé un des agresseurs.
Par chance, ce sera celui qui, une demi-heure auparavant, incitait son acolyte à la poignarder, si elle faisait dans la résistance. Mais, malgré la flagrance des faits, ce dernier a fait des dénégations systématiques devant les enquêteurs.
Domicilié à Grand Yoff, S. Sow a soutenu qu’il s’était rendu au stade pour suivre un combat de lutte. Mais après la défaite de son lutteur, il s’était empressé pour aller rejoindre le quartier général du lutteur à Grand-Yoff, pour compatir avec lui. C’est donc en chemin, dit-il, qu’il a été heurté par un scooter qui l’a projeté au sol.
Et c’est au moment de se lever que les deux jeunes à bord de la moto, l’ont interpellé en l’accusant de faire partie d’un groupe d’agresseurs. « Je ne suis ni de près ni de loin impliqué à cette affaire », a-t-il déclaré. Une version qui n’a pas convaincu les enquêteurs du commissariat de la Médina, qui l’ont déféré au parquet.
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